La coquine fille de ma voisine (1)
Datte: 11/10/2022,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Eredin, Source: Xstory
J’ai toujours préféré la campagne à la ville. Certes j’ai grandi à la campagne et y ai mes plus beaux souvenirs, mais j’ai aussi vécu en ville pour mes études, et malgré tous les commerces à proximité que je perdais, je n’ai jamais été aussi reposé que quand je posais mes valises chez mes parents, en pleine cambrousse.
Nous sommes donc, au moment de ce récit, un week-end. Un samedi pour être plus précis. Je viens donc chez mes parents pour décompresser de la semaine bien chargée que je venais de subir. En parlant d’eux, ils étaient absents, ayant eux choisi de décompresser, le temps d’un week-end, chez des membres de la famille habitant dans le sud. Cela m’allait très bien. J’aime beaucoup mes parents, mais la perspective d’un week-end entier seul dans une grande maison s’avérait alléchante. En ce samedi matin (il devait être autour de 11h), j’ignorais encore si mon programme allait s’orienter sur une grosse fête alcoolisée ou un week-end tranquille, à glandouiller devant la télé et les jeux vidéo. Les deux possibilités me plaisaient beaucoup. En réfléchissant, je buvais mon café matinal sur le banc de pierre devant la maison, vêtu d’un caleçon et d’un simple t-shirt, au vu de la chaleur déjà écrasante de ce mois de mai.
Car oui, un des avantages de la campagne, c’est de pouvoir bénéficier d’une grande cour et surtout de pouvoir boire son café en extérieur sans entendre de klaxons ni même de moteurs.
La cour de mes parents était entourée de vieux bâtiments, comme ...
... toutes les habitations construites sur des bases de vieilles fermes. Il n’y avait donc pas trop de problèmes de vis-à-vis. La cour n’était visible que d’un voisin, ou plutôt une voisine. Corinne était la meilleure amie de ma mère, du moins elle l’était devenue après avoir emménagé, quelque vingt-cinq ans plus tôt. Elle et son mari étaient devenus proches de mes parents, encore plus lorsque ma mère tomba enceinte à trois mois d’intervalle de Corinne. Leurs enfants pourraient donc jouer ensemble, être amis. C’est ce qui arriva. Corinne eut une petite fille : Laura. Quant à ma mère, elle m’eut, moi. Laura et moi fûmes très amis, meilleurs amis mêmes, et cela est devenu de plus en plus ambigu en grandissant. Il y eut des baisers, mais on ne s’est jamais vraiment avoué de sentiments. On était jeunes, on ne savait pas ce que c’était. Le père de Laura est décédé lorsque nous avions une dizaine d’années.
L’arrivée au collège scella la fin de notre complicité d’antan, puisque nous rencontrions d’autres personnes, plus qu’à l’école primaire. Nous nous retrouvâmes dans des lycées différents, et aujourd’hui, à 20 ans, on ne se parlait plus, si ce n’est un « joyeux anniversaire » envoyé sur les réseaux sociaux une fois par an.
Pendant que je réfléchissais à mon programme de la journée, mon esprit fut ramené à la réalité par un bruit de portière de voiture. Je tournai la tête vers la seule maison que je pouvais apercevoir : celle de Corinne. Cette dernière démarra sa voiture et franchit ...