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Quelle balade ! (2)
Datte: 11/10/2022, Catégories: Hétéro Auteur: JVincent, Source: Xstory
... connaît si bien. Je m’immobilise, allongé sur le dos de Laura. Je libère ses poignets, glisse mes bras sous elle et l’enlace en croisant mes mains sur son pubis pour la plaquer encore plus fort contre moi. J’enfouis mon visage dans son cou. Mon torse épouse les contours de son dos. Mes hanches écrasent ses fesses. Mes jambes glissées entre les siennes restent à leur contact jusqu’à ses pieds. C’est quand je suis dans son cul, dans cette position, que le sentiment de fusion avec Laura et de plénitude est le plus fort. Quand nos corps sont en contact étroit des cheveux jusqu’aux orteils. Il y a du vrai dans le mythe d’Aristophane : Laura doit être la moitié dont j’ai été séparé. Nous avons eu la chance inouïe de nous retrouver et de pouvoir retourner « à l’unité de notre nature primitive ». Laura est maintenant totalement détendue et j’ai la faiblesse de penser à cet instant qu’elle apprécie aussi cette union. Comme pour me conforter dans cette pensée, une de ses mains libérées vient me caresser la nuque. Je sens ses fesses s’avancer au contact de mon bassin tout en s’agitant de droite à gauche, comme si elle voulait que je m’enfonce encore plus profondément en elle. Après avoir pris le temps de savourer ce moment aussi précieux, j’accompagne ses mouvements de petits coups ...
... de reins en l’embrassant tendrement dans le cou. Je voudrais faire encore durer cet instant unique, mais toute la tension que j’ai accumulée se libère d’un coup en me prenant par surprise. J’éjacule, planté au plus profond de son cul, en contractions inhabituellement nombreuses et intenses. Je sens que j’expulse puissamment une grande quantité de sperme à chaque jet. Une fois vidé, je reste affalé mollement sur son dos, toujours en elle. Je reviens peu à peu à la réalité. Ce n’est que maintenant que je me réveille réellement et que le brouillard qui avait envahi mon esprit se dissipe. Après m’avoir laissé tranquillement reprendre pied dans la réalité, Laura bascule sur le côté en m’éjectant délicatement de son arrière-train. Elle se lève sans un mot et file vers la salle de bains attenante à notre chambre. Avant d’y pénétrer, elle marque un temps d’arrêt et me fixe d’un regard que je ne lui connais pas. Je n’y décèle ni rancœur ni agressivité ; il est juste… dubitatif ? Alors qu’elle disparait avec la grâce qui la caractérise en toute circonstance en franchissant la porte sans me quitter des yeux, je reste allongé sur le dos, un peu groggy, la bite toujours gonflée par une érection qui ne retombe que très lentement. J’attends son retour, un peu inquiet de sa réaction tout de même.