Quelle balade ! (2)
Datte: 11/10/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JVincent, Source: Xstory
... d’éjaculer sur ma poitrine et de ne pas la réveiller, ou sous la douche matinale.
Le week-end offre plus de possibilités. Ça peut-être un « quickie » dès qu’elle arrive dans la cuisine pour préparer son petit déjeuner ou sous la douche un peu plus tard, dans sa chatte ou son cul suivant mon humeur et mes envies, profitant du « laisser-passer permanent » qu’elle m’accorde. Ça peut aussi se produire après un retour au lit pour une relation plus câline, au cours de laquelle je m’attache à la faire jouir.
Mais ce samedi matin, c’est particulièrement violent et impérieux. Je n’ai envie ni de me branler ni d’attendre le réveil de Laura. Je bascule sur le côté gauche et je me colle à elle. Elle dort toujours paisiblement sur le ventre, inconsciente du danger qui la guette désormais. Je commence à lui passer une main dans les cheveux et à lui caresser délicatement la nuque. Même si elle ne bouge pas, sa respiration de s’accélère un peu, signe qu’elle commence à sortir de son sommeil profond. Ma main descend lentement le long de sa colonne vertébrale. Arrivée au creux de ses reins, elle déclenche une cambrure réflexe. Parvenue à la naissance de son sillon, elle s’écarte de son chemin pour aller caresser ses fesses, objet de (presque) tous mes fantasmes.
Après cette rapide exploration, je n’en peux plus. J’ai une envie furieuse de prendre Laura bestialement, comme dans mon rêve toujours vivace à cet instant. J’enduis généreusement ma queue de salive puis je bascule sur son ...
... dos. Je glisse mes deux jambes entre ses cuisses pour les écarter et je positionne mon gland fermement sur son anus.
Cet assaut la réveille subitement et, après quelques secondes de flottement, elle prend conscience de mes intentions. Elle tente de se retourner en marmonnant un « non » étouffé dans son oreiller, mais je l’écrase de tout mon poids en me contractant.
Maintenant que ma bite est bien calée en position, j’attrape ses deux poignets et j’immobilise ses bras devant elle. Je lui mordille le cou tout en commençant à accentuer la pression sur son petit trou, qui refuse de rendre les armes sans un minimum de résistance.
De manière un peu cynique, je suggère à Laura :
— Détends-toi, laisse-toi aller.
Elle me répond, sur un ton un peu implorant :
— Laisse-moi dormir, s’il te plait !
Mais, en dehors du réflexe de son anus, pas de résistance de sa part. Je pilonne alors ce dernier par de petits coups de reins rapides, de plus en plus appuyés. Elle gémit et grimace. Une pression un peu plus vigoureuse et mon gland franchit l’obstacle, comme aspiré. Surpris par cette reddition soudaine, je n’ai pas le réflexe d’alléger la pression et ma bite s’enfonce instantanément sur toute sa longueur dans le fondement de Laura. Elle relève la tête, prend une inspiration bouche grande ouverte, avant d’expirer lentement dans un long feulement. Elle met son expérience en pratique pour se détendre et s’accoutumer, dans ces circonstances particulières, à un envahisseur qu’elle ...