Maria aime vraiment le cul.
Datte: 10/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... d’une voix ferme il lâcha :
-Pour ta peine, tu vas avoir droit à un malaxage de nichons.
Elle suffoqua, en creusant le ventre.
- Non, pas les seins… je ferais tout ce que vous voudrez.
- De toute façon, tu finis toujours par faire ce qu’on veut. N’est-ce pas Alain ?
-Et comment ! Elle aime ça la salope !
-Mais dit-donc ! Je ne te permets pas !
Sans prendre la peine de m’éterniser sur ce qu’elle venait de répondre, j’achevais d’écarter le soutien-gorge. Maria, le cul en l’air, la tête basse, contemplait les deux masses flasques qui se balançaient sous elle.
Manu pour sa part, écarquilla la vulve entre ses pouces et la scruta de près.
- Je regarde si tu mouilles. Il n’y a rien qui excite plus les filles que quand on leur travaille les nichons.
- Je confirme ! Ajoutais-je. Allez fais-nous plaisir, caresse tes nichons.
Pour cela elle s’installa en tailleur, et sans qu’on la force une fois encore, elle pétrissait les seins, infligeant de douloureux pinçons au bout des pointes. Elle gémissait. Des hoquets secouaient ses épaules et faisaient bouger ses nichons. Je remarquais les jointures des doigts de la jeune fille, devenues blanches. Elle tirait de toutes ses forces.
- Elle se fait mouiller, la salope !
De grosses larmes laiteuses poissaient les poils de sa chatte. Ses grandes lèvres enflaient d‘excitation, alors Manu passait un doigt dans la fente brillante, la faisant tressauter de plaisir.
- Continu à te peloter, salope de cousine ! Tu ...
... prends ton pied !
Je profitais de cet instant pour enfoncer mon index dans son trou du cul. Maria serrait les dents. Laissant échapper un cri strident qui nous excitait. Mais ce qui me fascinait le plus, procurant un durcissement de ma queue, c’était que son anus m’autorisait d’y introduire deux autres doigts. C’était alors avec trois doigts que je lui branlais le cul. J’étais dans un tel état d’excitation que j’en fis par à Manu.
-Quelle SALOPE ! Fut ses mots.
Alors que le visage de sa cousine se crispa, tandis que son souffle court trahissait le plaisir qu‘elle prenait.
-Tu permets que je juge ! Me lança-t-il.
-Je t’en prie, répondis-je en lui laissant la place pour chevaucher la jeune fille.
Plaçant ma queue en sandwich entre les deux seins. Et par de judicieux coup de reins, je fis coulisser ma verge entre ses nichons. Un branlage comme un autre. Pour sa part Manu jaugea l’anus de sa cousine.
- Putain elle est chaude de ce côté.
Et là Manu fit une chose incroyable, il força sa cousine à s’installer comme il le voulait. Dans une position qu’il lui permit d’ajuster sa verge dans le cul. À peine introduit, il se mit à crier de plaisir. Ne tenant plus je déchargeais à mon tour en criant. Inondant le visage de la jeune fille de mon plaisir.
Nous restâmes tous les trois, prostrés à reprendre nos esprits. J’avais le gland douloureux par la force de mon branlage.
- Il se fait tard. Il faut rentrer. Décida Maria, en se levant comme si rien ce s’était ...