1. Maria aime vraiment le cul.


    Datte: 10/10/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Maria se comportait avec nous comme une vrai allumeuse. Comme les après-midi auparavant, elle se proposa de nous emmener jusqu’à l’étang. Une manière comme une autre de nous garder juste à elle.
    
    Une fois sur place, à défaut d’autre chose, nous lorgnions vers la jeune fille. Essayant de capter sur son visage un changement d’expression. Mais elle resta imperturbable. Mais si Maria vouait nous emmener au même endroit isolé c’était qu’elle avait envie de renouvelé notre jeu pervers.
    
    Comme à chacune de nos venues, il y avait peu de monde. À un tel point quand avait pu nous installer comme la veille. Comme il faisait chaud nous avions décidé de plonger dans l‘eau pour nous rafraichir.
    
    De retour sur le sable, Maria se mit comme d’habitude sur sa serviette pour se sécher au soleil. Manu pour sa part s’était plongé dans la lecture d’une bande dessiné fraichement achetée. Marie restait distante avec nous, mais j’étais persuadé qu’elle n’avait pas honte de se qu’il s’était passé la veille. Mais très vite mon attention fut détournée une fois n’était pas coutume par sa croupe. Que la coquine offrait au soleil, mais pas qu‘à lui. Je remarquais qu’elle avait mis un maillot échancré. Trempée par le bain de l’étang. L’étoffe moulait la forme de son cul comme une seconde peau. Je compris qu’elle avait fait exprès de mettre un slip aussi indécent. À sa façon de bomber les fesses, je comprenais qu’elle n’était pas contre à jouer le même jeu que la veille.
    
    Je fis signe à Manu. Il ...
    ... avait fallu que je persiste pour qu’il veuille abandonner sa lecture.
    
    Nous nous rapprochâmes nos serviettes de celle de Maria. Qui resta sans réaction. Appuyés sur les coudes, nous nous attablâmes autour de son plantureux derrière. Comme pour un festin. Maria était assoupi, où plutôt faisait semblant. Car ses paupières s’ouvraient et se refermaient aussi rapidement. Comme elle respirait en faisant du bruit, comme si elle manquait d’aire.
    
    Timidement, nous commençâmes par pincer les rondeurs pâles. Comme elle ne nous repoussait pas, nous prîmes cela comme un encouragement à poursuivre notre œuvre. D’ailleurs elle laissa même échapper un sanglot en se tortillant de façon ridicule. Comme elle l’aurait fait pour nous échapper. Mais pas assez pour nous empêcher de pétrir son cul, comme le ferait un boulanger travaillant sa pâte. Sans ce concerté, nous enfonçâmes nos doigts dans sa chair chaude, alors que Maria demeurait muette se contentant de pousser de petits hoquets qu’elle étouffait en mordant sa serviette, excitée par ce que nous lui faisions subir. Prenant la parole, Manu d’une voix dure, laissa tomber :
    
    - Maintenant, tu te mets en tenue et en position.
    
    Maria ouvrit les yeux en entendant la voix de son cousin lui donner des ordres.
    
    -Ce qui veux dire ? Lâcha-t-elle en tournant sa tête de notre côté.
    
    -Je veux donner une suite à l’épisode de hier !
    
    - Foutez-moi la paix, dégoûtants ! Répliqua-t-elle.
    
    -Tu vas pas me dire que tu nous as emmené jusqu’ici juste ...
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