Sagesse (9)
Datte: 10/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Gerald93, Source: Xstory
... sevrage.
— Le réceptionniste est revenu, me dit nonchalamment Gérald.
— Oh merde !
— C’est lui qui m’a fait les cafés. Il est polyvalent et très sympa.
— Je sais qu’il a une tête sympa.
— Quel âge tu lui donnes ?
— Je ne sais pas… Comme nous.
— Il te plait ?
— Je ne l’ai pas « envisagé ». J’ai eu surtout envie de fuir la situation de mon entrée, pour te rejoindre.
Par chance, il était de nouveau absent lorsque nous avons repris l’ascenseur. De retour dans la chambre, tous les deux reposés, caféïnés, et nicotéïnés, de nouvelles envies refirent surface. C’était simple et tendrement plaisant d’être dans ses bras, d’être embrassée par sa bouche, d’être déshabillée par ses mains, d’être caressée par ses doigts, et finalement d’être enfilée par son sexe…
J’avais bien entendu frapper, puis quelqu’un entrer. Mais à quatre pattes sur le lit, Gérald agrippé à ma croupe m’empêchais de me retourner. C’est dans le miroir que j’ai reconnu le réceptionniste. Etrangement je n’ai pas été surprise de le voir. Tout ça n’était probablement pas réel, j’allais me réveiller. Par contre ses grands coup de bites, je les sentais bien raisonner en moi. Tout était flou dans ma tête. Il y a une heure à peine, j’éprouvais un certain malaise à repasser devant son comptoir, et maintenant, cet employé de l’hôtel était là, debout, à coté du lit, à me mater en levrette, et ça ne me choquait pas. Sans un mot, je vis disparaitre son reflet, pour réapparaitre en chair et en os à coté ...
... de nous. Le rythme des coups de pine de mon amant semblait ralentir. Je pense qu’ils échangeaient par geste. Le salaud m’offrait au regard de cet inconnu sans m’avoir prévenue.
J’aurais pu me redresser et aller me cacher, outrée, scandalisée. J’aurais du ! Mais ce ramonage était déjà trop bon pour le stopper. Et puis, plus les secondes passaient, plus je me disais : « C’est trop tard ma fille, ce type en a déjà trop vu. A quoi bon jouer les vierges effarouchées ? » Est-ce le plaisir que me donnait Gérald à cet instant ? Est-ce un nouvel aspect naissant de ma sexualité ? Toujours est-il que finalement, je n’éprouvais plus aucun mal-être. Je me souvenais pourtant, qu’Antoine avait parfois, filmé furtivement nos ébats, avec son téléphone. Je réprouvais violement cette manie. Surtout depuis qu’un jour, il m’avait avoué, à demi-mot, avoir montré ses mini-vidéos à un collègue. Quelle honte ! Là, aujourd’hui c’était pire. Je n’étais pas actrice X à mon issue, j’étais une chaudasse, en live, exhib et consentante.
Prise dans ces pensées, et toujours délicieusement par derrière, je ne me suis pas rendu compte que l’employé avait sorti sa queue et commençait doucement à se masturber. Encore une fois ce sont mes seins que j’ai subitement souhaité, moi aussi, lui montrer. J’ai alors repoussé Gérald, pour m’allonger sur le dos. Il ne put s’empêcher de me mettre quelques coups de langues sur la fente, avant de me reprendre en missionnaire. J’en ai profité pour me caresser les nichons ...