Retour aux sources
Datte: 08/10/2022,
Catégories:
fff,
jeunes,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
caresses,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... en sortir !
Journal de Christine
Je. 09/07, a.m., sur la plage :
Transport de perruches ! Les filles n’ont pas arrêté de pépier durant tout le trajet. Heureusement, il est court. C’est revigorant, mais fatigant. Leur première idée était de nous entasser toutes dans ma voiture, « trop top » comme elles disent. Mais à sept, c’était trop, tout court. Chantal a pris Julia dans la sienne et je me suis dévouée pour véhiculer la jeunesse.
Babette joue à la grande sœur entre Marion et Sandra sur la banquette arrière. Elle a passé ses bras autour de leurs épaules, « pour être plus à l’aise », a-t-elle dit. Dans le rétroviseur, je la vois taquiner les seins des deux autres par-dessus leur tee-shirt. Elles se vengent en lui chatouillant les genoux ce qui la fait sursauter sur le siège comme un cabri. Le tout s’accompagne de rires aigus. J’essaie d’imposer le calme. Peine perdue : je dois conduire plus prudemment, c’est tout.
À côté de moi, Brigitte a remonté sa robe au ras de sa culotte, soi-disant « parce qu’il fait trop chaud, Marraine », et laisse bailler le décolleté plus bas que son soutien-gorge. Elle m’en offre une vue plongeante chaque fois qu’elle se tourne pour parler aux trois chipies. Et elle se tourne souvent ! À chaque fois, elle soulève à moitié sa cuisse droite, comme par hasard, en dévoilant un rien de tissu intime. Un petit compliment sur ses jolies jambes ou sur l’élégance de sa lingerie la fait rosir de contentement. Elle me drague, c’est ...
... évident.
Leur conversation précipitée, pleine de sous-entendus pas toujours discrets, m’en apprend beaucoup sur leurs arrière-pensées en réclamant si instamment cette sortie à la plage nudiste. Chantal a raison : elles veulent nous voir à poil d’encore plus près et plus longtemps que d’habitude, et si possible observer quelques gestes plus érotiques que des baisers ou des caresses entre nous. Pour cela, elles sont prêtes à faire une croix sur leur pudeur. Peut-être, d’ailleurs, comptent-elles sur nous pour les aider à franchir le cap.
L’arrivée au parking est malgré tout un soulagement. J’apprécie le silence qui suit la prise de conscience de tout ce qu’elles doivent porter : le coffre est rempli de nattes, serviettes, crèmes solaires, trucs et machins, parasol compris. Je leur confie deux ou trois sacs pour partager les efforts et je les envoie en reconnaissance pour trouver un coin tranquille dans le secteur « homo » du rivage. Elles ont quelques centaines de mètres à parcourir dans le sable. Moment de repos, j’attends que Chantal et Julia me rejoignent.
Ce sont elles qui apportent le ravitaillement, essentiellement liquide. Une bonne dizaine de litres, quand même, dont nous répartissons la charge entre nos faibles bras, un peu allégée pour Julia qui a la responsabilité des papiers, de l’argent mis en commun, et, surtout, des clés de voiture. Nous prenons notre temps pour retrouver nos filles, d’abord parce que la marche dans le sable fin est fastidieuse, ensuite parce que je ...