Amazonie (7)
Datte: 08/10/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory
À Porto-Rico, le commandant me trouva un navire en partance pour l’Espagne, pour Cadix en l’occurence et qui était notre port principal pour les liaisons avec les Amériques. J’avais rangé les pistolets, le sabre et la tenue de marin au fond de ma malle. J’avais remis mes dagues en position sous ma robe. Je me dis que je continuerai à le faire tant que je ne serai pas en lieu sûr. J’écrivis une lettre pour Gaspar, en la faisant cacheter avec le sceau de l’Amirauté. J’y avais mes entrées grâce au commandant de la Santa Monica. Je racontai à Gaspar notre aventure maritime.Notre navire, un galion, était la Santa Isabella, plus gros que la Santa Monica. Pedro Del Gado était du voyage aussi. Malgré ce que nous avions vécu ensemble, il était resté assez distant avec les survivants de l’attaque et moi en particulier.Nous avions sept jours à attendre avant l’appareillage de la Santa Isabella, mais j’avais déjà ma cabine à bord. J’allai souvent au chantier naval voir l’avancée des réparations de la Santa Monica. Le commandant m’expliqua que tout le bardage au-dessus de la ligne de flottaison allait être changé. Nouvelle mâture et nouvelle voilure, intégralement changées elles aussi. On allait aussi la doter de canons plus performants, ayant plus de portée en particulier. Nous avions eu vraiment beaucoup de chance.Le commandant de la Santa Isabella ne semblait pas au courant de mes exploits passés. Tant mieux, j’avais besoin de tranquillité et de sérénité. Il faisait beau quand nous ...
... prîmes la mer et je passai pas mal de temps sur le pont à humer le bon air marin. La présence d’une religieuse ne gênait en rien l’équipage et j’eus donc une paix royale. Alors qu’un soir je rentrai d’avoir dîné à la table du commandant, j’entendis des bruits dans une des cabines des passagers. Celle d’à côté étant inoccupée, j’y entrai pour coller mon oreille à la cloison. Non seulement je pouvais entendre ce qui s’y passait mais un interstice entre les planches du mur me permit de voir d’un œil les occupants.Les cris et gémissements étaient sans équivoque pour moi : il s’agissait de personnes en train de faire l’amour. Étant la seule femme à bord, il ne pouvait s’agir que de deux hommes. Je vis Pedro Del Gado, debout, nu avec un autre homme agenouillé devant lui et lui prodiguant une fellation. Il aimait donc les hommes ! Voilà qui expliquait son comportement vis à vis des autres. Dans notre Espagne catholique, les personnes comme lui, appelées sodomites, risquaient gros et finissaient souvent au bûcher après avoir subis des sévices infâmes par l’Inquisition. Del Gado éjacula dans la bouche de son comparse qui garda son sexe en bouche pour tout avaler. Il se plaça ensuite à quatre patte et l’autre homme vint derrière lui, sa bite tendue, visiblement pour le sodomiser. Vu ses couinements digne d’une femme, Del Gado semblait apprécier la pénétration et son enculeur était visiblement très endurant. Je mouillai de voir ses deux hommes prendre du plaisir ainsi. Je pense qu’il en ...