1. Petite fable érotique


    Datte: 26/08/2018, Catégories: f, fh, ff, hplusag, fplusag, Collègues / Travail contes, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... raccrochant, tellement ce qu’il venait de dire était sorti du fond de lui. Vu la différence de taille entre les deux hommes, mon collègue n’en ferait qu’une bouchée. Et mon honneur serait vengé. Je n’avais pas pensé à cette option-là qui pourtant était une bonne option. Je me sentis une fois de plus un peu sotte. Dans la minute qui suivit, je reçus un SMS du tatoué, confirmant son passage imminent et s’excusant de cet impayé ! Sous le choc, je finis toute seule la petite bouteille de vin blanc, mon collègue étant resté à la bière (il avait apporté un pack qu’il avait mis dans mon frigo). On échangea peu en attendant l’arrivée du tatoué, plus occupés à regarder l’horloge qu’à parler. L’ambiance était tendue.
    
    Une demi-heure plus tard, l’enveloppe arriva, portée par la gentille femme enceinte qui s’excusa encore pour tous ces désagréments. La tonne que je portais sur mes épaules tomba au sol et je fondis encore en larme, consolée par mon collègue, mon héros. Celui qui avait toujours été là pour me protéger et sur lequel je pouvais compter. Une fois la porte refermée et la somme recomptée, nous partîmes dans un grand fou rire neveux.
    
    Puis je sautais dans ses bras puissants et protecteurs pour l’enlacer, mes petites jambes enserrées autour de sa taille. Le contact de nos corps changea un peu la donne. Je le sentis se tendre et son rire s’arrêta. Sa queue était toute bandée et je ne pouvais l’ignorer, car il approcha plusieurs fois mes petites fesses de sa queue. J’étais ...
    ... un tout petit objet dans ses bras. Tout se fit plus doux, plus tendre, plus intime et le sursaut de joie se transforma en quelques secondes en enlacements amoureux. Il me portait dans ses bras comme une petite poupée. Son régime hyper protéiné faisait de lui l’homme le plus baraqué que j’avais jamais connu. Sans un gramme de graisse. Il écarta mes cheveux pour venir poser ses lèvres sur mon cou, si fragile et sensible.
    
    Je lui rappelai l’amour qu’il portait à sa fiancée, le renvoyant aux photos de bonheur posées sur son bureau. Mais son regard avait changé, son cou large et impressionnant était tendu comme quand Hulk se transmue en homme vert. Portant une de ses grandes mains à ma bouche, il m’imposa de me taire. Jamais je n’avais vu de doigts si gros et forts. De l’autre main, il déchira mon petit pull. Les coutures faites main ne pouvant résister à cette force-là. Il me poussa dans le canapé et je volai dans les airs comme dans les dessins animés.
    
    Je lui rappelai son engagement de boy scout, mais il défit sa ceinture pour faire tomber au sol ses jeans et son caleçon. Sa queue dressée était longue, à proportion de la taille du bonhomme.
    
    Je lui rappelai, suppliante, que je ne voulais pas perdre le seul ami que j’avais. Je lui dis qu’il devait continuer d’être mon protecteur. En me blottissant dans le canapé, je le vis retirer sa chemise et faire voler ses baskets. Je n’avais jamais vu de tels abdos en tablettes de chocolat ni un torse en V aussi large. Son avant-bras ...
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