Jeu sur balcon
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fgode,
jeu,
sm,
attache,
confession,
fsoumisah,
jeux,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... cravache, annonce-t-il.
Cette défaite me coûte réellement cher !
— Tu comptes, finit-il.
La douleur irradie dans mes fesses à chaque coup mais je tiens bon. La cravache est, il le sait, l’objet qui m’apporte le plus de douleur. À « vingt », je suis réellement heureuse que ça se termine. Il me libère de la chaise en délestant cette fois-ci le sein droit de la pince avant de la remettre en place. Je remets mon haut à sa demande et nous revoici sur le balcon. Combien de temps ce jeu va-t-il durer ? Je connais la réponse : aussi longtemps qu’il le voudra.
La voiture suivante est de la couleur que j’ai choisie. Ouf !
— Les prochains jeux compteront pour les pinces dentelées, annonce-t-il. À chaque victoire, j’en enlève une. À chaque défaite, je la remets. Si tu as les quatre, c’est la cravache : cinq coups, ici, sur le balcon. Quand les quatre pinces seront retirées, elles ne reviendront pas.
Il retire une pince dentelée et je dois me retenir de hurler. La douleur quand on les enlève est tellement intense !
Je perds le pari suivant et elle revient à sa place de départ. La douleur irradie. Deux victoires de suite me permettent de me délester de deux supplémentaires. Une défaite m’en redonne une. Mon Maître apprécie beaucoup ce petit jeu sadique. Il sourit. À la victoire suivante, je murmure :
— Maître, s’il vous plaît, j’ai trop mal. Donnez-moi du plaisir, s’il vous plaît…
Il me regarde intensément puis sourit en hochant la tête. Il me plaque de nouveau ...
... contre la vitre et fouille mon sexe. Les pinces m’envoient de la douleur mais les caresses de mon Maître, précises, habiles, permettent au plaisir de prendre le dessus, et rapidement je me sens mieux.
— Merci, Maître, finis-je par annoncer et il s’écarte en souriant.
— Je t’en prie. Couleur ?
— Blanc.
Je ne réponds plus que ça. La grande majorité des voitures s’avèrent être de cette couleur. Je n’ai gagné qu’en choisissant ça. Plusieurs voitures seront nécessaires pour qu’enfin je sois délestée de toutes les pinces.
Le jeu n’est pas fini et je perds la manche suivante. Je suis heureuse que les pinces dentelées aient été retirées du jeu.
— Tiens la rambarde et ne la lâche pas.
J’obéis.
— Si tu hurles, tout le monde t’entendra. Si j’étais toi, je ferais en sorte de garder le silence. Ce n’est pas un ordre, juste un conseil.
Je frémis. Que compte-t-il faire exactement ? Quand la roulette de Wartenberg se pose sur mes fesses rougies par la cravache, je comprends que cette défaite va être très difficile à supporter. Je n’ai pas le droit de bouger, et ne pas pouvoir hurler amène une difficulté supplémentaire. Que c’est dur ! La roulette passe et repasse sur mes fesses, descend sur mes cuisses, remonte pour s’enfoncer dans mes lèvres intimes, sensibles après les allers et venues des pinces dentelées.
Des gens passent dans la rue en bas. Ils ne voient que mon visage et le haut de mon corps. Rien ne peut leur faire savoir ce qui se passe, sauf si je me mets à ...