Jeu sur balcon
Datte: 26/08/2018,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
Oral
fgode,
jeu,
sm,
attache,
confession,
fsoumisah,
jeux,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
Un toussotement m’amène à me retourner. Il est debout, derrière moi. Ses mains tendues devant lui portent mon collier de soumise. Le message est clair : il veut jouer. Je me tourne vers l’écran de l’ordinateur. Entre le jeu en ligne auquel je joue et son invitation, il n’y a pas photo. Le choix est vite fait. Je souris en me mordillant la lèvre inférieure. Il sourit à son tour. Il sait que j’accepte.
Je m’empare de la souris et ferme la fenêtre du jeu avant d’éteindre l’écran. Inutile de consommer pour rien. Puis je me tourne mais reste assise. Je ferme les yeux et respire plusieurs fois. Il me faut le temps d’entrer dans le jeu, de devenir sa soumise. Il attend patiemment.
Lorsque je suis prête, je m’agenouille devant lui. Mon dos est légèrement cambré, mes mains dans mon dos, mes jambes légèrement écartées, ma tête baissée.
— Je suis à vous, Maître, dis-je dans un souffle.
Il s’approche avec le collier. Je soulève mes cheveux afin qu’il puisse l’attacher puis reprends ma position.
— Lève-toi ! ordonne-t-il.
Je m’exécute. J’en profite pour lever les yeux sur lui et nous nous sourions, complices. Il s’empare de ma jupe et la baisse. Je l’enjambe et me voilà offerte. Je ne portais pas de culotte. Je sais qu’il adore ça. Il sourit, ravi.
— À quatre pattes ! commande-t-il.
L’ordre me surprend. Il ne m’a pas retiré mon haut. C’est étonnant. D’habitude, il me veut nue le plus vite possible. Je n’ai pas à comprendre. Je m’exécute et je me retrouve en ...
... position animale à ses pieds. Il attrape mes cheveux fermement et avance. Je le suis, docile. Nous empruntons le couloir, traversons l’entrée puis le salon pour nous retrouver devant la porte-fenêtre ouverte sur le balcon. D’une traction sur mes cheveux, il me force à me lever, puis à avancer pour me retrouver sur le balcon, où il me suit.
Il fait très beau aujourd’hui, et très chaud. Les oiseaux chantent et virevoltent. Depuis le quatrième et dernier étage, on a vue sur la cime des arbres et le ciel bleu. Pas de vis-à-vis, juste la nature. Un petit vent frais souffle. C’est très agréable. La balustrade du balcon est recouverte d’un brise-vue. Ainsi, depuis la rue, si quelqu’un lève les yeux sur nous, il ne verra que le haut de notre corps. Je comprends soudain pourquoi il ne m’a pas enlevé mon chemisier. Il veut jouer ici et il sait que l’exhibition n’est pas mon truc. Je souris. L’idée est intéressante.
— On va faire un jeu, commence-t-il. Tu vas essayer de deviner la couleur de la prochaine voiture qui passera dans la rue.
Je regarde en bas. La rue appartient à la résidence. Il y a peu de passage mais pas aucun non plus. La résidence est grande. Il doit passer environ une voiture toutes les minutes.
— Si tu gagnes, tu auras une récompense, continue-t-il. Si tu perds, tu recevras de la douleur.
Je souris pleinement. Je suis maso. La douleur est une récompense. Il vient de m’annoncer que je gagne à tous les coups. Victoire et défaite vont simplement amener une forme ...