1. Un petit trajet en camion


    Datte: 02/10/2022, Catégories: fh, copains, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral nopéné, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... peu plus bourrin. Comme quoi qu’on peut se tromper sur les gens qu’on connaît pourtant depuis des années…
    
    Il me câline, il me caresse, il me cajole, il éveille tous mes sens, ma peau frissonne, mon cœur s’emballe comme si j’étais une collégienne en train de vivre son premier baiser ! Non, je ne regrette pas ce qui est en train de m’arriver. J’espère qu’il en sera ainsi tout du long, sans dérapage de la part de Daniel ou de la mienne.
    
    — Hmmm… oui… continue… hmmm… comme ça…
    
    Nous nous donnons beaucoup de plaisir, c’est indéniable. Plusieurs fois, sous la langue nichée entre mes cuisses, je décolle vers le septième ciel, ayant divers orgasmes bien sentis. Je m’étonne moi-même de cette facilité à l’extase. Est-ce le goût de la nouveauté et la saveur de l’interdit qui me font cet effet-là ?
    
    Lui-même éjacule sur mon ventre, sur mes seins, son sperme luisant s’étalant sur moi, dégoulinant un peu. J’adore cette douce chaleur sur ma peau. Je flotte, je suis une autre moi-même. Pourtant, il y a plus romantique que la couchette d’un camion ! Sans doute suis-je subjuguée par le désir qu’a Daniel de moi…
    
    — Oh, Vanessa, que c’est bon ! Ah oui, continue ! Oui !
    
    Par deux fois, Daniel éjacule dans ma bouche, une pratique dont je ne suis pourtant pas fan. Au bout d’un certain temps, nous gisons sur la couchette, enlacés, épuisés, vidés. J’aime énormément ces moments de tendresse, de câlin…
    
    Caressant délicatement mon dos et mes fesses, Daniel murmure :
    
    — C’était bon, ...
    ... Vanessa ?
    — Je n’ai pas pour habitude de simuler.
    
    Il me serre un peu plus contre lui, possessivement :
    
    — Donc, c’était bon. Pour moi, ce fut extra. J’avoue que si nous avions été un peu plus loin, ça ne m’aurait pas déplu.
    — Je me doute, mais les termes du contrat étaient clairs : pas dans ma chatte, ni dans mon cul.
    — Oui, tu me l’avais bien dit… Bon, c’est pas tout ça, mais il faut dormir un peu. Tu permets que je me mette contre ton dos, mais un peu plus que d’habitude ?
    — Bien sûr que oui, espèce de gros nigaud. Du moment que tu ne me fourres pas ton engin là où il ne faut pas, ça ira !
    — Dommage… mais je vais faire avec.
    
    Peu après, Daniel dans mon dos, une main sur mon sein et l’autre sur mon ventre, je m’endors. Ce gros filou bande encore un peu, bien qu’il soit pourtant vidé. Je sens distinctement sa verge entre mes fesses. Deux-trois centimètres plus bas, son gland pourrait venir taquiner ma rondelle…
    
    Je pense que je peux faire confiance à Daniel, et qu’il ne me violera pas durant mon sommeil. Le pire est que je ne sais même pas si je l’empêcherais ou si je le laisserais faire. Mais il ne vaut mieux pas qu’il s’en doute.
    
    Quand je me réveille, le camion est en train de rouler.
    
    — Salut, ma Belle au Bois Dormant !
    — Bonjour, Daniel. Il y a longtemps que tu roules ?
    — Pas plus d’une heure. On peut s’arrêter prendre un petit café, il y a une aire dans vingt kilomètres.
    — Pourquoi pas… un café me fera du bien.
    — Avec un croissant ?
    — Si tu me prends ...
«12...8910...»