1. Un petit trajet en camion


    Datte: 02/10/2022, Catégories: fh, copains, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral nopéné, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... amour !
    
    Et sans attendre sa réponse, je coupe la communication et aussi mon smartphone. Assez étonné, Daniel me dit :
    
    — T’es vache dans ton style !
    — C’est une punition, pas une sucrerie ! Toi aussi, coupe ton téléphone !
    
    Assez intrigué par mon ton, il s’exécute. Ceci fait, je laisse alors tomber la couverture qui cachait mes seins, me révélant nue à Daniel. En costume d’Ève, je m’allonge sur la couchette, disant à mon chauffeur :
    
    — Allez, viens !
    — Tu fais quoi, là, Vanessa ?
    — Tu ne veux quand même pas que je mette un nœud ruban rose autour de ma tête pour que tu comprennes ?
    
    Je constate qu’il est figé, ne croyant pas à ce qu’il voit, à ce qui semble advenir. Décidément, les hommes sont des grands enfants, il faut tout leur expliquer :
    
    — Il n’y a pas cinq minutes, tu me sautais dessus… et maintenant, tu fais la fine bouche ?
    — Tu… tu veux dire que t’es OK ?
    — Je pose mes conditions : pas de pénétration, ni dans la chatte, ni dans le cul. À prendre ou à laisser.
    — Je prends !
    
    Fébrilement, il s’allonge à son tour sur la couchette, ne sachant pas bien par où commencer. Mais son hésitation est de courte durée. Il m’embrasse d’abord dans le cou, tout en baladant ses mains voraces sur tout mon corps offert. Peu après, ses lèvres visitent avidement le moindre centimètre carré de ma peau, ce qui me procure de doux frissons.
    
    — Ah Vanessa ! Depuis le temps que j’en rêve !
    — Tu as déjà eu droit à des petits extras avec moi, non ?
    — Mais pas autant que ...
    ... je l’aurais voulu !
    
    Sa bouche brûlante me dévore, ses mains affamées me caressent voluptueusement, j’adore ça. Peu après, je m’enhardis à caresser la bosse de son caleçon. D’un geste, Daniel révèle sa tige bien raide à l’air libre, je m’en empare pour commencer une douce branlette. Ce n’est pas la même verge que celle de mon homme, mais elle n’est pas mal non plus, ça change agréablement. Je me surprends à penser que ce soit si facile de franchir le pont qui sépare les deux rives…
    
    — Ah Vanessa ! Je suis fou de toi, de ton corps, de tes nichons, de tes jambes, de ton ventre, de ta chatte, de ton cul, de…
    
    Doucement sarcastique, je le coupe en pleine énumération :
    
    — Ce serait plus simple de dire ce que tu n’aimes pas !
    — Je n’aime pas que tu ne sois pas à moi.
    — Ah oui ? Et on fait quoi, là maintenant ? On joue au scrabble ?
    — Je veux dire que tu n’es pas ma meuf officielle rien qu’à moi ! Voilà !
    
    Je m’amuse de sa réponse :
    
    — Je te donne ma main, et tu veux tout le bras !
    — Non, je veux tout ton corps et je veux toute ton âme !
    
    Tout en continuant de le branler fermement, je m’exclame :
    
    — Hé bé ! T’es à peine exigeant comme genre de mec ! À ce propos, je te rappelle mes conditions : pas de pénétration dans ma chatte ni dans mon petit trou !
    — Et ma langue ou mes doigts ?
    — Délicatement, si possible !
    — Pas de problème, ma Princesse Petit-Pois !
    
    Pour être doux, il me démontre qu’il sait être doux, ce qui m’étonne un peu de lui, je l’aurais cru un ...
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