1. Mes chères amies (3)


    Datte: 01/10/2022, Catégories: Transexuels Auteur: Justine_, Source: Xstory

    ... point où je me demande si je n’ai pas rêvé. Je me retourne, cherchant ce type des yeux, mais il a disparu, sa femme aussi. Il n’est plus dans la pièce.
    
    Je pourrais aller à l’étage pour voir s’il est là, mais mon cerveau me dit non, que je ne dois pas faire ça.
    
    Je reprends mes esprits, le papier est toujours dans la main, je ne le regarde pas et le glisse dans ma poche. Je fais quelques pas et retrouve les filles.
    
    L’une d’elles me dit :
    
    — Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as l’air bizarre ?
    
    — Non non, t’inquiète, pas de problème ! et je reprends mon allure habituelle, en poussant même un peu l’excentricité, faire un peu la folle pour faire rire les filles et me sortir ça.
    
    Et en repartant entre les rayons, je reviens de moi-même vers le rayon bondage, là où se trouvent les colliers.
    
    En regardant mes différentes matières, je regarde un collier discret, soft, pas les gros colliers de cuir. Je trouve un collier qui est une bande de tissu satiné noir d’environ 2 centimètres de large, qui s’attache derrière avec une petite chaîne qui tombe dans le cou et devant un anneau que l’on peut glisser sur la bande de tissu. L’anneau peut être mis ou ôté, comme on désire. C’est plus ou moins discret.
    
    Et puis il n’est pas très cher, il coûte 11€.
    
    — J’aime bien celui-ci, dit Sarah. « Je te l’offre MA chérie ».
    
    En contournant le rayon, je tombe sans le vouloir sur le rayon des cages de chasteté pour homme et des ceintures de chasteté pour femme.
    
    Le propos de l’homme ...
    ... tout à l’heure reviennent me percuter la tête... je commence à regarder, sous-peser, regarder la matière.
    
    Les filles toujours à mes côtés, me questionnent, interrogatives :
    
    — Tu veux porter ça ?
    
    — Bahhh euhhh je ne sais pas, je regarde en tout cas.
    
    — Remarque pourquoi pas... tu te sens en porter une ? Normalement faut que ça soit imposé.
    
    Léa rajoute perfide et rigolarde « on peut te l’imposer si tu veux »
    
    — rââ mais vous êtes bêtes les filles.
    
    — oh regarde celle-ci en rose elle est mimi, me dit Sarah en me la ramenant.
    
    — de toute façon tu t’en sers jamais, je crois, de ton p’tit bout MA chérie, ajoute-t-elle.
    
    C’est confus dans ma tête, j’entends Sarah me parler, mais j’entends aussi les paroles de l’homme.
    
    Je repose l’objet et décide de passer en caisse et rentrer.
    
    Je paie le rosebud et Sarah garde le collier pour le payer. Et me l’offre en sortant du magasin.
    
    Dans la rue, elle insiste pour que je l’essaye, ce que je fais. Certains passants me regardent, le sourire en coin. Ça me va bien selon elles et souhaitent que je le garde. Non non quand même pas, et puis je veux le laver avant.
    
    — OK OK mais on rentre à l’appart et tu nous montres comment tu portes ton nouveau bijou.
    
    Les filles sont insistantes, j’accepte. Une fois arrivé chez elle, je vais nettoyer l’objet au savon et grande eau, puis demande un peu de gel à Sarah et reviens dans la salle de bain. Pour ôter mon pantalon, descendre mon boxer en résille, me préparer avec le gel et ...