1. Odalisques modernes...


    Datte: 01/10/2022, Catégories: f, fh, inconnu, prost, telnet, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, fdanus, jouet, portrait, rencontre, Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe

    ... libre l’entrée de son pertuis d’amour. Avant d’en explorer les méandres, les coins et les recoins, je me hasardais à remonter vers son clitoris, petit bouton poussant sa tête au bout de sa tigelle et qui, aux premiers effleurements, lui faisant pousser les premiers soupirs de plaisir et de contentement.
    
    Ivika disposait d’une ultra sensibilité du clitoris. Je n’avais encore jamais vu une telle sensibilité. Le moindre effleurement, un simple zéphyr du passage du bout de mon doigt au-dessus, déclenchait un vrai cataclysme entre les lèvres de son sexe. Pourtant, Ivika n’était pas « femme fontaine » qui vous arrose une couche en jouissant. Non, elle, elle était plutôt du genre« je coule en permanence d’une substance laiteuse, dès que l’on touche mon clito »… Et cette substance, un peu comme du sperme masculin, était odoriférante, un tantinet acidulée et assez grasse. Un phénomène que je découvrais avec cette jeune femme tchèque.
    
    En revanche, l’introduction de mes doigts dans son sexe, la recherche du point G, la palpation de ses muqueuses interne ne semblait pas avoir les effets escomptés.
    
    Nous avons prolongé nos jeux de« touche-pipi » encore quelques longues minutes et avant qu’il ne soit trop tard pour moi, nous sommes partis nous allonger sur mon lit, plus propice aux galipettes et autres jeux coquins.
    
    Là, allongés l’un près de l’autre, l’un sur l’autre, tête-bêche ou pas, Ivika m’a longuement sucé, avec une langue d’une dextérité de gymnaste professionnelle. Et il ...
    ... m’a fallu toute ma concentration pour arriver à me retenir, car je voulais lui offrir un feu d’artifice en la pénétrant.
    
    J’ai aussi goûté le bout de ses seins, petites turgescences dures et pointues qui semblaient lui lancer de longues ondes de plaisirs. J’ai pu tester cette liqueur blanchâtre qui s’écoulait de sa source intime et semblait intarissable. Ses lèvres, rendues grasses par l’excitation, j’ai pu les aspirer, le lécher, presque les mâchouiller. Elle montait et descendait ses fesses, arcboutée sur les talons, les jambes tremblantes de plaisir. Elle cherchait à échapper à de nouvelles montées de plaisir sans véritablement fuir. Et quand enfin, j’ai pu me glisser en elle, je l’ai sentie se tendre comme si elle appréhendait ce moment. Mettant cette forme de réticence sur le compte d’une vie rangée et peu habituée de l’acte d’amour, je l’ai joué« grand délicat », prenant mille précautions, cherchant surtout ni à la blesser, ni la brusquer. En guise de réponse, elle a souri, m’a fixé dans les yeux durant tout ce temps et a plaqué ses mains sur mes fesses pour m’inciter à aller plus loin en elle. Finalement j’ai eu raison de ses réticences et j’ai obtenu qu’elle jouisse ainsi, avant moi, avant que je ne me répande sur son ventre…
    
    C’est, plus tard, autour d’un repas gastronomique avec une vue imprenable sur Parisby night, que j’ai eu droit à ses confidences, à son histoire réelle…
    
    Aujourd’hui encore, j’en reste sur le cul… car j’étais loin d’imaginer que la jeune ...
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