Odalisques modernes...
Datte: 01/10/2022,
Catégories:
f,
fh,
inconnu,
prost,
telnet,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
fdanus,
jouet,
portrait,
rencontre,
Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe
... je dois vous avouer que nous avons passé de longs moments à nous aimer. J’ai mis toute mon âme, toute mon humanité dans nos ébats, nos accouplements, même si la part de bestialité et mon cerveau reptilien, me chuchotaient à l’oreille que la douceur et l’empathie ne servaient à rien dans ces moments-là. Après une nuit, puis une journée à promener Ivika dans Paris, la dernière nuit a été encore plus chaude. Elle avait tant besoin de rapports humains peut-être même plus que de rapports physiques. Et, par malchance ou signe du destin, le lundi matin, elle a raté l’avion. J’avais donc deux jours de rab.
J’en ai profité pour lui prendre rendez-vous chez un ami gynécologue qui a diagnostiqué une inflammation sévère des muqueuses vaginales due à des excès de stimulations non-naturelles. Il a aussi noté une hypersensibilité clitoridienne et des mamelons. Il lui a conseillé des pommades, des gélules et un traitement pour calmer toutes ses infections. Mais quand je lui ai expliqué les raisons de ces inflammations, il a levé les yeux au ciel, m’a fait une moue et compatissant il a juste marmonné« faudrait changer de métier. »
Bien ...
... entendu, je l’ai bien proposé à Ivika, mais en vain. Elle m’a même ri au nez en baragouinant qu’elle ne savait pas faire autre chose qu’écarter les jambes, se doigter et se fourrer des godes dans la chatte et le cul. Elle m’a expliqué aussi qu’un de ses« admirateurs » – terme qu’elle préférait nettement à celui de client – lui avait dit qu’elle était une« nouvelle Odalisque », courtisane au service des femmes du harem qui souvent passaient leur temps, allongées sur leurs lits, jambes écartées, toujours prêtes à donner du plaisir à la place de leurs maîtresses au Seigneur et Maître. Et pour être toujours prête à donner du plaisir, à recevoir un homme en soi,« il faut être en permanence excitée. Et, ça, c’est toute ma vie » concluait Ivika, au bord de la porte d’embarquement, prête à repartir à Prague.
Depuis, de temps à autre nous échangeons quelques messages. Elle doit revenir à Paris sur mon invitation, mais refuse l’idée d’abandonner son pays, son job et ses quelques amis. Et chaque fois qu’un bandeau publicitaire s’affiche sur mon écran pour vanter les« Chats coquins », j’ai une pensée pour Ivika, ses consœurs et ses confrères…