1. Déflorations


    Datte: 29/09/2022, Catégories: fh, jeunes, caresses, intermast, Oral 69, pénétratio, init, prememois, initiat, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... inédit. Putain, c’est tellement bon que si je bouge, je pars de suite. Mais elle commence à onduler, elle est contente et surprise à la fois. J’ai pas le temps de la prévenir que je jouis en elle en râlant. Elle est surprise et fait de grands yeux.
    
    — Je suis vraiment désolé, ma chérie.
    — C’est pas grave, c’était très bon quand même !
    — T’as eu mal ?
    — Quasiment pas.
    — Si tu savais comme j’avais peur de ça…
    — Hi hi ! Moi aussi !
    
    On se fait un gros câlin, les yeux dans les yeux, moi dans elle encore, et c’est ça qui est très fort : on ne fait qu’un. Fatalement on se sépare, elle part se laver. Avec des kleenex, je nettoie ma queue et le canapé, elle a très peu saigné en fait. Je me dis que j’aurais dû me branler avant pour tenir plus longtemps, et me sers un shot de rhum, que j’avale cul sec. Puis je rallume le pétard, et tire dessus comme un tox, tellement je suis dégoûté d’avoir été si peu performant. Je l’entends pas revenir, elle se glisse dans mon dos, me prend entre ses bras et ses jambes, et me fais des bisous dans le cou. Elle est reconnaissante quand même, sur le coup, ça m’énerve envers moi-même encore plus : je me fais un film : je ne la mérite pas.
    
    — Putain, ça fait chier !
    — C’est pas grave, j’te dis, mon chéri (première fois qu’elle me nomme ainsi). C’EST FAIT. Maintenant, tu vas reprendre des forces et on remet ça !
    — T’es pas croyable.
    — Hé oh, hein, qu’est-ce que tu crois ? J’ai faim moi !
    — T’as raison !
    
    Je me retourne, et fais se coucher ...
    ... MA femme. Je lui écarte ses jambes épilées et contemple sa jolie chatte en ticket de métro.
    
    Trop beau pour ne pas y goûter. La forêt vierge a disparu, c’est désormais un green de golf. C’est tout aussi excitant, mais plus pratique, j’adore la lécher de partout, surtout c’est dedans que ça m’attire, je découvre un vagin. Elle aussi veut participer. On s’installe en 69, moi dessus. Ça lui plaît, elle peut caresser mon anus et sucer mes boules plus facilement, j’adore ça, et des fois, je donne des coups de bite dans sa gorge. Je veux pénétrer son vagin avec mes doigts.
    
    — Non ! Ce soir, c’est que ta queue qui a le droit de rentrer, d’accord ?
    — C’est ta chatte, c’est toi la patronne !
    — T’es con, hi hi !
    — Et je vais t’avoir, petite coquine !
    
    Ô, Randy Spears, saint patron du cunnilingus, guide-moi : je fais saillir son clitoris, que j’aspire et lèche en même temps. Merci Randy, mademoiselle s’arque et donne des coups de bassin, je suis arrimé à son clito pendant cette tempête. Elle se met à vibrer et à gémir fort. Je ne fais plus rien, riveté sur son clito, titillé par ma langue en interne. Puis je me relève, et la regarde par l’arrière. Une fois repue, elle rouvre ses yeux qui viennent de vieillir d’un coup, et me font un énorme sourire. Je viens chercher ma récompense : une femme heureuse qui m’embrasse.
    
    Rassuré, je rallume mon pet’, genre le guerrier victorieux après la bataille, vu que mon « ennemie » est défaite. Elle émerge finalement, veut fumer aussi, mais ...
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