Déflorations
Datte: 29/09/2022,
Catégories:
fh,
jeunes,
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
initiat,
Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Fabienne est la meilleure amie de ma sœur. Après des années on a décidé de franchir le pas ensemble. On fait plein de cochonneries dans la joie et la confiance, mais on est toujours puceaux, et elle ne veut pas tomber amoureuse. Malheureusement elle est partie en vacances à l’océan, et j’ai commis l’impair de lui conseiller d’en profiter pour se faire dépuceler…
Voici maintenant deux jours que j’ai les boules. Elle est partie à Mimizan. On s’est quittés sur une énorme boulette de ma part. J’ai complètement sous-estimé l’investissement émotionnel et charnel dans ce qu’est l’acte de la défloration pour une jeune femme. Dans le fond, je pense plutôt avoir eu raison, mais complètement tort sur la forme. De toute façon, Steph, ma sœur, lui fait toujours la gueule.
Je passe donc mes nerfs dans le vélo et la course à pied, car je compte bien me remettre au rugby à la rentrée. Sur les conseils de Steph, avec laquelle j’évoque ces problèmes de cœur avec « ma copine » de façon super vague, je fais livrer à sa résidence de vacances de famille (merci les pages blanches) un énorme bouquet de roses roses et jaunes – qui me coûte bonbon, mais faut ce qu’il faut – avec une carte« je suis un imbécile. Toutes mes excuses, F. ». Je n’attends pas grand-chose d’elle en retour, c’est surtout pour soulager ma conscience en fait, je fais ça de façon très égoïste. Mais c’est impossible de ne pas penser à elle lors de mes branlettes quotidiennes. Akim ...
... n’est toujours pas là, et je ne vais pas sortir en boîte avec ma sœur, c’est un peu glauque non ?
Le mardi matin de cette deuxième semaine, il n’y a personne au magasin, je suis en train de ranger au sol des panneaux de carreaux quand j’entends des pas légers s’arrêter derrière moi.
— Je suis à votre disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit.
— Ahan. (Comme le font les anglophones)
Pas d’autres bruits, il faut donc prendre contact visuel avec le client, pro, quoi. Je me retourne. Spartiates à talons compensés, de fines attaches, que je reconnais déjà, alors je prends mon temps. Des mollets bronzés, jupe en jean, top à bretelles bleu marine. Des cheveux libres sertissent le visage hâlé et très légèrement maquillé de celle dont je me morfonds depuis une dizaine de jours. Pas un mot, elle traque grave, c’est trop sexy. Je me remets vite du choc, et veux l’embrasser direct, absolument rien à branler des collègues. Elle refuse en posant son majeur sur mes lèvres, et me dit juste :
— Ce soir, dîner chez moi, 21 h. Fais-toi beau.
— … D’a… d’accord.
Et elle repart, très classe. Tous les collègues sourient et font les gros yeux !
Nom de Dieu. Je vous raconte pas la longueur de la journée, surtout quand vous vous faites vanner par tous les membres de la boîte (jaaaloux !). Mon patron, lui, me sourit en opinant du chef. Je repars du boulot en mode contre-la-montre, j’arrive juste à la fermeture de ma fleuriste (qui m’aime bien, donc elle accepte de faire des ...