1. Marie-Charlotte, Sainte-Nitouche ou fieffée coquine ?


    Datte: 28/09/2022, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, médical, religion, ffontaine, pénétratio, Humour Auteur: Onyx31, Source: Revebebe

    ... pour reprendre ses esprits. Effectivement, quelques minutes plus tard, partiellement apaisée, elle desserre les cuisses et, sans pudeur aucune, étire son bassin vers son professeur, l’invitant sans équivoque à poursuivre l’investigation plus en profondeur.
    
    — Parfait, je vais introduire un deuxième compagnon d’exploration… pour les besoins de la science, il va sans dire. Voilà, j’y vais tout doucement, je fais bien le tour de l’intérieur de votre intimité, sentez-vous la sensibilité de vos muqueuses ? C’est tout lisse à l’intérieur. Laissez-moi bien ausculter… Oui, là, très important, cette zone particulière, sur la paroi antérieure de votre vagin. Sa texture est différente, plus nervurée, moins lisse que les alentours. Elle semble déjà bien gorgée, parfait. Il suffit d’une légère pression et…
    
    Et elle se cambre d’un coup, bien plus fortement que les fois précédentes.
    
    — Voilà, nous y sommes, n’oubliez jamais ce point magique, c’est votre meilleur ami. J’ai maintenant trois doigts en vous, la fine équipe, les trois mousquetaires, et tout est prêt pour l’examen final. Je vais vous demander de me serrer très fort la main gauche et surtout de vous laisser aller.
    
    Il applique alors une technique ancestrale qui devrait figurer en première page de tous les manuels de biologie des lycées. Ses doigts entrent et sortent du vagin de sa patiente de plus en plus vite. L’effet est immédiat. Elle comprime sa main avec virulence et cambre son bassin à outrance. Les doigts ...
    ... experts vont et viennent dans un antre passablement inondé dans un flic-floc si caractéristique. Quand le corps de la patiente est tendu à l’extrême, sans crier gare, il les enfonce profondément d’un coup d’un seul, allant bien au fond. Elle se mord l’autre main sans pouvoir réprimer un cri sauvage.
    
    Elle est à point.
    
    Il donne soudainement deux ou trois coups violents tout en compressant son point magique entre les trois mousquetaires à l’intérieur, et le pouce à l’extérieur. Elle se contracte alors violemment, lâche un cri guttural et expulse puissamment plusieurs jets de liquide qui aspergent la blouse de son talentueux professeur.
    
    Dans une dernière convulsion, elle lui bloque la main avec ses cuisses avant de se laisser retomber sur la table, parcourue d’interminables spasmes de la tête aux pieds.
    
    Il reste en elle le temps que la pression redescende légèrement. Elle se détend, un peu, desserrant progressivement son étreinte.
    
    Avec d’infinies précautions, il retire les doigts auscultateurs et va se laver les mains. Il enlève sa blouse, prend sa veste et en couvre Marie-Charlotte toujours en proie à un tsunami hormonal.
    
    Il s’installe juste derrière elle, et, avec une infinie douceur, il entreprend de lui masser le cuir chevelu, l’accompagnant ainsi au mieux dans cette tempête de sensations. Il récite d’une voix à peine audible quelques incantations apaisantes pour la bercer jusqu’à ce qu’elle récupère progressivement ses esprits.
    
    — Merci, merci infiniment, ...
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