1. Un jeune homme à la capitale (12)


    Datte: 28/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... avant de m’enfoncer de nouveau de toute ma longueur. Ma tante haletait.
    
    — Plus vite, m’intima-t-elle.
    
    J’accélérais et ses gémissements prirent de l’ampleur. J’accélérais encore puis, pris de frénésie, j’adoptais un rythme dément. Ma tante hurlait presque.
    
    — Vas-y ! Plus fort ! Plus fort ! Défonce-moi ! Oui, oui ?? Ahhh.
    
    Son corps se mit à trembler sous la puissance de son orgasme qui déclencha le mien. Abuté à ses fesses, je me déversais dans son cul en gémissant. J’eus l’impression de lâcher des quantités invraisemblables de sperme.
    
    Après un long instant de silence et d’immobilité, je me retirai doucement. Ma tante resta un instant dans cette position impudique puis son peignoir glissa, masquant son cul de rêve. Elle reprit sa position assise. De la sueur perlait sur son front et ses joues étaient rouges.
    
    — Eh bien, dit-elle d’une voix essoufflée, cela faisait quelque temps que je ne m’étais pas fait enculer.
    
    Elle se pencha, se saisit de la bouteille et remplit nos coupes. Elle m’en tendit une.
    
    — A ta santé mon neveu. A ta ...
    ... première sodomie. Il te faudra maintenant sodomiser un homme pour voir la différence. Cela t’a-t-il plu ?
    
    — Oh oui, ma tante, dis-je en prenant ma coupe. C’était extraordinaire. Vous avez de si belles fesses. Je ne vous ai pas fait mal ?
    
    — Mais non. La salive est un très bon lubrifiant. Et j’étais terriblement excitée d’avoir revécu ma promotion canapé. Je peux te dire qu’entre Mr Imbert, Mr Livert et moi s’est ensuite établie une relation particulière. Rien n’était soupçonnable et nous continuions à avoir les mêmes rapports hiérarchiques, le même vouvoiement. Mais il y eut quelques parties de jambes en l’air mémorables...
    
    Bon... il est temps d’aller se coucher. Je vais me doucher... A demain mon neveu...
    
    Je m’allongeais dans le canapé en rêvassant. Tout de même, ma tante, quelle cochonne ! Et quelle chance j’avais de faire mes premières armes avec un tel professeur. J’entendis que la douche ne coulait plus. La salle de bain était libre. Je pris une douche puis je redescendis dans ma chambre. Je me couchai et m’endormis comme une masse... 
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