1. Un jeune homme à la capitale (12)


    Datte: 28/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... viens...
    
    Il poussait un véritable grognement. Je sentis M. Imbert se cambrer et se déverser à son tour dans mon sexe alors que balayée par l’orgasme, je laissais tomber mes jambes.
    
    Nous restâmes de longues minutes absolument inertes, puis M. Livert se retira. M. Imbert fit de même, et tous les deux, me prenant galamment chacun par une main, me redressèrent. Je restais assise sur le bureau, puis je me mis lentement sur mes jambes flageolantes et je me penchais pour récupérer ma culotte qui gisait sur le sol, et l’enfilait.
    
    — C’est vrai qu’elle a un cul superbe, dit M. Livert.
    
    — Et beaucoup de talents, répliqua M. Imbert. Mon cher Philippe, je pense que vous avez fait le bon choix.
    
    — Eh bien, arrosons donc cette promotion. Patrick, sans vous commander, voyez dans le frigo, il doit y avoir une bouteille de champagne.
    
    Nous le vîmes, les fesses à l’air partir vers le frigo et revenir avec une bouteille, son sexe pendouillant entre ses cuisses maigres.
    
    — Et remettez votre pantalon, mon vieux, vous êtes ridicule.
    
    Devant l’air dépité de M. Imbert, sa queue à l’air et sa bouteille de champagne dans les mains, nous partîmes, M. Livert et moi, d’un grand éclat de rire bientôt partagé par M. Imbert.
    
    J’étais devenue secrétaire de direction... »
    
    ... Le récit de ma tante m’avait excité à un point que je ne saurai dire. A peine eut-elle fini que j’étais debout et que je laissais tomber mon peignoir, exhibant mon sexe dressé. Ma tante y jeta un coup d’œil ...
    ... amusé et sans mot dire, elle posa son verre et se retourna dans son fauteuil, d’un mouvement fluide qui l’amena à se retrouver les genoux sur l’assise du siège. Elle posa sa tête sur ses bras croisés sur le haut du dossier et attendit. Je m’approchais, relevais son peignoir découvrant ses fesses magnifiques. Et tel M. Imbert, j’approchais mon sexe du sien qui était inondé. Visiblement, revivre son aventure l’avait autant excité que moi. Je poussais mes hanches en avant et je l’embrochais de toute la longueur. Elle poussa un soupir d’aise tandis que je commençais de vigoureux mouvements qui faisaient trembler ses fesses. Je regardais ces deux globes charnus réagir à mes coups de boutoir avec des yeux exorbités. Cela dura un certain moment.
    
    Je ne voulais pas prendre mon plaisir trop vite. Soudain, ma tante tourna la tête et les épaules et glissa une main entre nous. Elle se saisit de mon sexe qu’elle sortit du sien. D’un geste assez obscène et pourtant excitant, elle se pencha et laissa couler sa salive sur mon gland. Puis elle reprit sa position sans lâcher ma hampe qu’elle dirigea vers son anus. Elle l’appuya doucement, mais fermement. J’accompagnais son mouvement en avançant les hanches et je sentis mon gland pénétrer lentement. Puis ma tante lâcha ma verge et je continuais ma lente poussée jusqu’à ce que mon bas-ventre vienne buter sur ses fesses. J’étais dans son cul ! Je repris mes mouvements de va-et-vient avec plus de douceur, m’amusant à me retirer presque entièrement ...