1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (17)


    Datte: 27/09/2022, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Nous étions assez fatigués et sans perdre de temps, mais sans se précipiter non plus, nous nous vidâmes les couilles.
    
    Satisfaite de cette petite tournante, Alicia proposa à boire à mes deux comparses. Romain accepta, mais partit assez vite.
    
    — Tu rejoins ton pote ?
    
    — Je récupère juste mes affaires et je file. Faut que je rentre ce soir.
    
    — Tu n’habites pas là ?
    
    — Non, c’est aux grands-parents d’Eliott. Ils lui prêtent quand ils sont en vacances, on passait la soirée ensemble. Moi je dois y aller.
    
    Après une douche et un repas frugal, nous nous mîmes au plumard, Yves dans le canapé du salon, ayant pris rendez-vous le lendemain matin, au réveil quand "le piquet de tente serait bien dressé".
    
    Il devait être quatre heures du matin quand je me réveillai. J’étais seul dans le lit. Je soupçonnai aussitôt qu’elle était allée rejoindre Yves. Mais non. Il ronflait seul, les draps défaits, le sexe à l’air bien au repos.
    
    Alicia n’était pas dans l’appartement. Je retournai dans la chambre. Son portable était là. Je décidai donc de me recoucher, pas tranquille quand même.
    
    Elle revint un quart d’heure après environ.
    
    — Putain, mais tu étais où ? Je m’inquiétais.
    
    — Je ne dormais pas, je suis allée me rafraîchir sur la terrasse. Le gras du dessus était seul, alors je les ai rejoints.
    
    Je calculai qu’elle y avait passé une heure à peu près, ce qui mettait le garçon au rang des endurants. Heureusement qu’il n’était pas chez lui et devait repartir.
    
    Yves, lui ...
    ... ne fut pas pressé de s’en aller et resta aussi longtemps que possible dans l’espoir d’être invité à se vider les burnes. Le courant était passé rapidement entre les deux, le garçon état un vrai bourrin et très chaud de la bite. Il ne se fit donc jamais prier quand Alicia l’invita à revenir. Fort heureusement, la distance l’empêchait de rappliquer autant qu’il le voulait.
    
    J’avais espéré qu’il en serait autant de ses autres amants. De fait, elle ne garda que les plus motivés, ceux que ma présence n’indisposait pas, ceux qu’elle préférait et qui venaient aussi souvent qu’elle les appelait, mais à l’improviste, c’était plus rare. La fréquentation étrangère diminua donc un peu, mais les habitués ne manquaient jamais de s’arrêter quand ils étaient de passage et elle eut vite fait de se constituer un nouveau vivier qui s’accroissait de semaine en semaine.
    
    Le problème, quand les anciens venaient, les habitués qui habitaient au loin, c’est qu’elle les gardait pour le week-end et elle passait le plus clair de son temps au pieu. Je pouvais me joindre évidemment, encore que quelques fois, elle réclamait un moment d’intimité avec l’une ou l’autre de ses plus anciennes pratiques. Je découvris que si la plupart des aficionados étaient trentenaires comme nous, certains pouvaient être beaucoup plus âgés, ce qui motive le plus Alicia n’étant pas les ans, mais la rigidité de la queue et le temps qu’elle se maintient ainsi bien raide. Si elle a une prédilection pour les gros sexes, elle ...
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