Du miel et du lait chez les scouts
Datte: 26/09/2022,
Catégories:
Première fois
Auteur: Indiascalling, Source: Hds
... haletante et je remarquai qu’elle souriait. Assise, elle recommença a me frotter la queue à travers mon jeans et je commençai alors à bander comme jamais avant. Je sentais ses doigts devenus expert apprécier la longueur, la grosseur et l’excitation de ma bite. Elle entoura mon gland qu’elle titillait en appuyant fort dessus.
Alors que je prenais déjà mon pied, fermant les yeux, j’entendis qu’elle abaissa ma braguette. Ni trop vite, ni trop lentement. Et je senti ses doigts fins écarter les pants de mon short en jeans puis se glisser à l'intérieur et me frotter le pénis turgescent, comme avant, avec gourmandise. La sensation de ma queue frottant sur mon caleçon et ses doigts enserrant complètement ma queue à travers le tissu me fit gémir fort. Elle prit alors son temps pour caresser mon bas ventre de ses doigts et de me susurrer à l’oreille « tu aimes ça ? » je répondis par un gémissement intense lorsqu’elle soulevant de deux doigts l’élastique de mon caleçon avant d’y passer la main. Je senti alors sa paume chaud et ses doigts parcourir les veines de ma bite. Je sentais ses doigts caresser superficiellement la peau fine de mon fourreau ce qui me procura une sensation de chatouillis érotiques.
Quand elle prit mon gourdin dans sa petite main, je frémis.
Elle gémissait dans mon oreille quand elle le fit. « Laisse moi faire » me dit-elle. Je ne la contredis pas et voulu mettre mes mains sous ma tête mais une odeur de cyprine, une odeur âcre, salée, marine monta dans ...
... l’air au moment où je passai mes mains au dessus de mon visage. Alors, tandis qu’elle caressait doucement ma queue, je pris le temps de sentir mes doigts et de me délecter de cette odeur. J’introduisis un doigt dans ma bouche et le suçai afin de récolter le reste de cette cyprine… Je voulu lui en faire profiter et lui caressai la joue avec mon doigt de mon autre main, je glissai mon majeur vers sa bouche et introduisis facilement mon doigt entre ses lèvres pulpeuses. Elle passa sa langue sur mon doigt en gémissant et remonta, en un mouvement de va et viens, ses lèvres sur mon doigt.
Elle libéra d’un coup ma queue de son caleçon et je senti l’air frais de la nuit contrastant avec sa main chaude. C’est à ce moment là que, par surprise, elle commença à me décalotter. Ce décalottage sauvage me fit émettre un « oooh putaiiin » de satisfaction. Mon gland à l’air libre semblait pulser d’envie. Elle devait sentir le poids de mon pénis dans sa main car elle me rassura en disant « J’adore ta queue, elle est parfaite, laisse toi faire » avec un sourire charmeur devant mon regard inquiet de puceau. Elle se pencha vers moi et me roula une pelle en fermant les yeux tout en commençant à me branler doucement : elle faisait des vas et viens sur ma hampe et parfois jouait de ses doigts sur mon gland afin de titiller mon frein ou les bords de mon gland... Je tremblais littéralement de plaisir et je sentais tous mes nerfs à vif me parcourir le corps... Des éclairs me transperçaient de partout… ...