Tout flatteur meurt aux dépens de celui qui l'écoute. - Histoires de Sexe

Tout flatteur meurt aux dépens de celui qui l'écoute.

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— Un de mes collègues spécialiste en informatique est en train d’essayer de joindre l’opérateur Internet. Mais d’après lui, l’identification de votre suspect peut prendre un certain temps car la pénurie mondiale d’IP V4 oblige les FAI à attribuer la même adresse à plusieurs clients (NdlA : authentique). Ne me demandez pas ce que ça veut dire. Je vous répète juste mot pour mot ce que m’a dit mon collègue conclut le gendarme avant de raccrocher.

Mercredi 01 h 30

Assis à son bureau, Franck reçoit un appel d’un des enquêteurs en charge de l’affaire.

— Ça y est ! lui annonce triomphalement son correspondant. On a le nom et l’adresse du suspect. Une équipe vient de partir pour se rendre à son domicile. Ils attendront que la BRI soit sur place avant d’intervenir.
— Ça m’étonnerait que le mec ait emmené sa prisonnière chez lui, lâche Franck dubitatif. Vous avez pu obtenir son numéro de portable ?
— Oui, le FAI nous l’a transmis. Mais c’est un autre opérateur qui gère la ligne GSM. On a lancé une demande d’urgence auprès du proc pour pouvoir récupérer l’historique des appels et des déplacements de votre cinglé. En consultant le SIV (NdlA : Système d’immatriculation des Véhicules), nous avons aussi pu récupérer le modèle et l’immatriculation de son véhicule. Il s’agit d’un break Volkswagen de 2014. Nous avons évidemment envoyé une alerte à tous les services de police du territoire qui nous préviendront s’ils repèrent la bagnole. En revanche, poursuit l’homme au bout ...

... du fil, les numéros de Maud Laurent et Teitalia S. N’ont rien donné de nouveau. L’adresse de leur dernière localisation correspond à celle de l’appartement de la victime.

Mercredi 02 h

Dès que leur chef leur donne le go, les membres de L’équipe de la BRI enfoncent d’un grand coup de bélier la porte de l’appartement de Jim Lamizofon, informaticien né à l’Île Maurice et venu s’installer en France juste après sa majorité.

Depuis la chambre conjugale, sa femme Martine empalée sur l’énorme chibre d’un grand black met quelques secondes à réaliser ce qui vient de se passer.

À peine a-t-elle le temps d’extirper de son con le tenon d’ébène qui la soudait à son amant qu’elle se retrouve plaquée au sol dans le plus simple appareil les bras solidement maintenus dans son dos par un agent de la BRI qui la menotte avant de la forcer à s’asseoir sur le canapé.

Après avoir pris quelques secondes pour se rincer l’œil en matant les appas plantureux de l’épouse blonde de Jim Lamizofon, l’OPJ Gaulot commence à l’interroger pendant que ses collègues fouillent rapidement l’appartement.

— Madame, nous avons de bonnes raisons de penser que votre mari a enlevé une jeune femme qui se trouve de ce fait en grand danger. Avez-vous la moindre idée de l’endroit où pourrait se trouver actuellement monsieur Lamizofon ?
— C’est à cause de ce connard que vous avez tout défoncé chez moi, hurle tout à coup l’épouse infidèle, mais néanmoins outrée.

La blonde plantureuse entre dans une colère ...