Des envies, encore des envies - Histoires de Sexe

Des envies, encore des envies

... débauche et commencerait à se distraire en l’attendant. Le patron de l’endroit, qui la connaissait bien, lui accordait l’entrée réservée normalement seulement aux couples et à quelques hommes seuls ; il savait que, peu de temps plus tard, son « homme » la rejoindrait. Elle put ainsi monter à l’étage où se trouvaient le bar et la petite salle de danse, à la recherche de quelques compagnons de jeu.

Mais ce jour-là, il y avait encore peu de monde, si ce n’est ce gentil couple mûr qui venait aussi se détendre un moment, à l’occasion d’un voyage à Paris. Très simplement, ils engagèrent la conversation avec elle, assis sur un grand canapé. Elle apprit ainsi qu’ils pratiquaient assez peu le libertinage, mais qu’ils étaient ouverts à de nouvelles opportunités ; notamment, la mignonne femme du couple semblait tentée par l’essai de l’amour avec une complice, ce qu’elle n’avait pas encore osé pratiquer. Patricia la rassura vite à ce propos en lui expliquant, qu’elle aussi avait découvert cette pratique assez récemment et qu’elle y avait rapidement pris goût, sans rien abandonner de ses aventures avec les hommes. Tout en parlant, elle avait posé une main sur une cuisse de la dame et avait lentement glissé ses doigts plus haut, son regard dans celui du mari assis à côté. Celui-ci avait alors entrepris d’aider son épouse à se libérer en écartant doucement les genoux de la belle, pour faciliter la progression de la main de Patricia. Elle s’était ensuite agenouillée devant les cuisses ...

... offertes et, délicatement, avait écarté du bout des doigts la culotte de la dame et avait entrepris une lente caresse de son sexe.

Pour ne pas effaroucher la novice, elle s’était un peu redressée et avait approché son visage du sien et, du bout de la langue, lui avait dessiné la bouche jusqu’à ce que l’autre femme l’entrouvre et lui offre la sienne. Alors Patricia avait rapproché la tête du mari de leurs deux visages et, tous les trois, ils s’étaient mélangé les langues quelques instants.

— Je vous emmène ? avait-elle alors demandé en les invitant à rejoindre un coin câlin dans une chambre, à l’étage.

Et c’est ainsi que, quelques minutes plus tard et débarrassés d’une partie de leurs vêtements, ils s’étaient retrouvés en pleine action : la dame était en effet très impatiente de découvrir ces plaisirs nouveaux, car elle avait vite pris possession de la chatte que Patricia lui avait offerte en se plaçant sur elle en 69. L’homme n’était pas resté de marbre et s’était glissé derrière le joli fessier de son épouse et l’avait pénétrée, juste sous le regard de l’initiatrice dont la langue avait ouvert le sexe conjugal. D’après ce que Patricia raconta un peu plus tard à son amant, enfin arrivé, elle avait accompagné le coït des deux époux en suçant le clito de la dame qui lui en faisait autant jusqu’à ce que l’époux, trop excité par l’aventure, libère son sperme qui coula jusque sur la bouche de la coquine.

Le souvenir de cet épisode accompagne encore la belle pendant ...