1. Halte improvisée


    Datte: 24/09/2022, Catégories: fh, ffh, inconnu, hotel, caférestau, voyage, intermast, Oral pénétratio, fsodo, hdanus, occasion, Auteur: TooBusy, Source: Revebebe

    ... des collants ou des bas, sous une jupe de drap bleu, assez ample qui venait presque cacher le haut du mollet.
    
    Avant d’entrer dans l’ascenseur, elle enleva deux petites pinces qui tenaient son chignon et, tournant deux, trois fois la tête, laissa couler des cheveux noirs, ondulant jusqu’au milieu du dos ; venant obscurcir son visage et lui donner un air plus mystérieux, presque sauvage.
    
    Il appuya sur le bouton de l’étage en disant :
    
    — Je crois qu’il y a du champagne dans ma chambre.
    
    Elle ne dit rien et vint se serrer contre lui, ses deux bras entourant son cou par-dessus ses épaules. Leurs langues se découvraient, les lèvres s’ouvraient et la respiration se faisait plus rapide.
    
    Il entra dans la chambre et ferma la porte derrière elle. Leurs yeux s’habituèrent à cette pénombre et à la lumière discrète que faisaient les néons de la ville à travers la fenêtre de la chambre. En s’avançant vers le lit, elle défit son chemisier et laissa tomber la jupe de drap bleu, dévoilant une chair blanche, pointillée par la dentelle de son porte-jarretelles, surmonté d’un string vaporeux, comme un rayon de lune pâle dans cette nuit d’hôtel. Il s’était arrêté au milieu de la chambre et la regardait. Elle se retourna et vint vers lui pour, de nouveau l’enlacer et l’embrasser.
    
    C’était presque une danse, un slow langoureux, debout, l’un contre l’autre ; leurs bouches découvrant les lèvres, le cou, le lobe des oreilles.
    
    Il suivait la montée de son désir, sentant ses seins se ...
    ... gonfler et son pubis pousser vers l’avant en quête d’un autre désir. Ses mains étaient descendues, caressant les épaules, le dos puis le haut des cuisses et ses fesses. Ses hanches étaient larges avec des fesses assez hautes, mais menues. Un doigt venait de glisser sous la ficelle du string et, suivant le sillon, avait effleuré l’ouverture rose de son orifice puis le bas des lèvres qui, déjà ouvertes, trempait le triangle en dentelle blanche.
    
    Elle le poussa doucement sur le lit et, venant s’agenouiller par-dessus lui, défit les boutons de sa chemise. Son torse était musclé, à peine recouvert d’une légère toison. Elle frottait ses lèvres et venait butiner les tétons durcis de l’homme qui entreprit de défaire le soutien-gorge. Ses deux seins étaient lourds, ronds, en forme de poire avec des mamelons larges, bruns, durcis par les baisers et les deux mains qui passaient de son dos, à son cou, à ses seins, les pouces titillant les deux ronds bruns et durs.
    
    Elle soupirait plus fort et vint s’agenouiller au bord du lit, lui défaisant son pantalon, lui faisant l’enlever et son caleçon pour prendre son sexe avec ses deux mains, l’une massant les bourses et l’autre allant et venant sur la hampe. Sa langue jouait avec le prépuce et sa bouche avalait ce sexe qu’elle sentait gonfler.
    
    Il était toujours allongé et la prenant par la main la fit revenir sur le lit. Elle enleva ce qui lui restait de dessous et nue, revint sur lui. Le plaquant sur le lit, elle se retourna pour reprendre ...
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