États d'âme...
Datte: 22/09/2022,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... :
— Dites, c’est rudement bien ici. Mais j’ai un problème : je n’ai pas de prix sur mon menu.
— C’est fait exprès. C’est moi qui vous invite, ainsi vous n’avez pas à vous soucier du prix, juste à suivre vos envies.
— Tout de même…
— Puisque je vous le dis. Rassurez-vous, le mien a les prix et je confirme : vous prenez ce qui vous fait plaisir. Moi j’hésite entre les huîtres et le foie gras.
— Pas moi. C’est foie gras sans hésitation. Et après, j’ai beaucoup entendu parler de homard sans y avoir jamais goûté.
— Alors c’est l’occasion, très bon choix, je vous suis.
Le déjeuner était à ravir, elle avait des yeux de petite fille un matin de Noël. Elle s’éclipsa un instant aux toilettes, j’en profitai pour admirer sa chute de reins à tomber et pour constater que sa démarche était pratiquement normale malgré des escarpins noirs à hauts talons. À chaque pas, sa jupe fendue s’ouvrait avec élégance, dévoilant la limite de la dentelle de ses bas, très sexy. Puis nous retournâmes chez elle pour appliquer des compresses de « Contrecoup ». Elle s’assit de profil devant moi et posa sa veste. Surprise ! Elle n’avait rien en dessous, et quand je dis rien ce n’était même pas un soutif. Je restai bouche bée devant ces deux globes gonflés à souhait qui, bien que la loi de la pesanteur les concernât aussi, semblaient me regarder de leurs deux aréoles brunes aux pointes dressées.
— Eh bien ? Vous n’avez jamais vu de seins ?
— Si, si… Mais des comme ça…
— Ha-ha-ha ! Si vous les ...
... aviez connus à dix-huit ans, c’étaient de vrais obus. Ils tombent un peu maintenant.
— Normal, vu leur taille.
— Et vous n’avez pas tout vu !
Elle se leva alors, dégrafa sa jupe qui tomba à ses pieds. Elle n’avait pas de culotte non plus et m’exposa sans entrave fesses et intimité.
— Alors ?
— Je… je ne sais pas quoi dire tellement c’est… indécemment beau !
— Ha ha ! Eh oui, mon cher sauveur. Il n’y a pas que les hommes qui ont le droit d’avoir envie de baiser avec quelqu’un. Les femmes aussi et elles savent faire ce qu’il faut, dit-elle en tendant la main sur la bosse qui gonflait mon pantalon.
— Depuis quatre heures que nous sommes ensemble, vous étiez presque nue et offerte comme ça près de moi, au commissariat et tout ?
—(elle fait oui de la tête en souriant), Mais non, bêta. C’est en allant aux toilettes du restaurant que j’ai tout posé juste pour provoquer ce moment de surprise.
— Pfiou ! Réussi !
— Vous me faites mon petit bandage avant que je m’occupe du vôtre ?
C’était la première fois que je posais des compresses en bandant comme un âne, ça ne facilitait pas la précision des gestes. Effectivement, son épaule et la proximité de son coude commençaient à bleuir. Je les recouvris de compresses de gaze imbibées de mon produit miracle, et je les fixai par un large sparadrap. Dès que j’eus terminé, elle se mit en devoir de détacher ma ceinture et mon pantalon, je l’aidai pour lui éviter de se baisser, et elle se plaqua à moi pour un baiser long et enflammé ...