Christine : invitation et conséquences - Histoires de Sexe

Christine : invitation et conséquences

... les aspira et les suça, l’une après l’autre, les reprit ensemble, les étira chacune et les caressa d’un large coup de langue.

— J’aime votre saveur, Chantal. J’aime quand vous frémissez…

Elle reposa sa tête pour embrasser la cuisse de son amie, qui dut se retenir de s’écraser sur sa bouche, puis elle fit une allusion mutine à leurs premiers badinages sous la douche.

— Votre touffe n’est pas si soyeuse que ça, après tout…
— Votre buisson n’est pas si rêche, sourit Chantal en se redressant toute guillerette.

Elle tendit d’un air engageant une main qui fut négligée : c’était trop bon de rester allongée à moitié nue sur le lit.

— Merci, Christine, vous m’avez embrasée… Venez, occupons-nous de votre linge. Je vais lancer une machine tout de suite. Il faudra sans doute en faire une autre… Bon ! Restez couchée. Je peux fouiller dans votre sac ?
— Allez-y, permit la paresseuse. Quand vous sortirez une culotte, passez-la-moi, s’il vous plaît. Je déborde… Et vous feriez bien de vous essuyer aussi, si j’en crois ma figure.
— Il y en a une là, rit Chantal, qui a vécu ! Ça vous va ?
— Celle-là ou une autre… Mais servez-vous-en la première.
— Je peux ?
— Bien sûr ! Utilisez le gousset, c’est plus doux, suggéra Christine avant d’en profiter aussi.

Cela fait, soigneusement, elle porta la lingerie à son visage pour la humer.

— C’est presque dommage de la mettre à laver !
— Hi, hi ! Il y aura d’autres occasions, j’en suis sûre ! Allons plutôt demander à votre fille ...

... de nous donner son linge sale. Je le rajouterai à la lessive avec celui de Brigitte.

Elles rajustèrent leurs vêtements pour sortir de la chambre, les bras encombrés d’un mélange de chandails, slips, et autres dessous ou dessus, appartenant à l’une ou à l’autre. Un bourdonnement aigu et enjoué frappa leurs oreilles en passant devant la chambre des filles. Discussions amicales et échanges joyeux allaient bon train entre ces demoiselles.

— Brigitte, donne-moi tes affaires, s’il te plaît, répéta à plusieurs reprises Chantal avant d’obtenir une réponse.
— Oui, M’man ?
— Je vais mettre une lessive. Tout ton linge, OK ?
— Tout, Maman ?
— Oui, tout ! Ce que tu as sur toi aussi.
— Tes affaires aussi, Babette ! ajouta Christine. Toutes, comme Brigitte. Ne traînez pas.

Arrivée dans la salle de bain, Chantal ôta son haut et son soutien-gorge pour les joindre au tas déjà conséquent, ce qui incita Christine à gober un téton au passage. Elle considéra ensuite l’amoncellement de chiffons en secouant la tête.

— Il faudra plusieurs lessives. Autant mettre aussi nos jupes, non ?
— Bonne idée ! Je vous prêterai une robe ou une blouse, assura Chantal.

Elles chargèrent à moitié le tambour de petit linge avant de retourner se couvrir. Dans la chambre voisine, le bourdonnement avait repris, à plus bas bruit cependant. Chantal toqua à la porte.

— Brigitte ?
— N’entrez pas ! Elles sont toutes nues, répondit la voix précipitée de Sandra.
— Maman, je n’ai pas d’autre culotte, ...