Christine : invitation et conséquences - Histoires de Sexe

Christine : invitation et conséquences

... bras après avoir sorti leurs propres affaires du coffre. Les filles se dirigeaient déjà vers la maison. Elles restèrent en arrière pour les observer. Brigitte aidait toujours Babette à porter son baluchon, chacune une anse dans la main, sur les pas d’une Sandra volubile qui ouvrait la marche, et les portes à l’occasion. Les mères, suivant le groupe à distance, le virent zigzaguer à travers les pièces et se diriger sans hésitation dans la chambre des deux sœurs. Elles hochèrent la tête en souriant.

— Venez poser votre sac dans ma chambre, proposa Chantal. De toute façon, c’est ici qu’il doit être… Mais je crois que vous n’aurez pas à la partager avec votre fille, ajouta-t-elle en refermant la porte.
— Je le crois aussi : l’amitié entre Babette et vos filles semble bien engagée, et j’en suis ravie ! Je préfère partager ceci avec une autre personne, s’exclama Christine en se jetant à plat dos sur le lit.
— J’espère qu’il vous convient, lui sourit Chantal.
— Il est parfait, j’ai hâte de l’essayer dans toutes les positions.

Christine fit valser ses chaussures. Le devant de sa jupe qui s’était relevé dans le mouvement glissa à l’envers sur son ventre. Chantal avait une vue directe sur les cuisses nues et le pubis broussailleux.

— Nous devrions peut-être passer une culotte, dit-elle sans détourner le regard.

Christine se souleva sur ses coudes en ouvrant innocemment les genoux.

— Pourquoi ? On n’est pas mieux, sans ? À moins que ça gêne Sandra ?
— Ce ne serait pas ...

... la première chatte qu’elle et Brigitte verraient, dit Chantal en pensant à Julia ou Michelle. Mais je ne voudrais pas choquer Babette.
— Elle ne perdra pas la vue à cause d’une autre chatte que celle de sa mère ! À propos, qu’en pensez-vous ?
— De ?
— De ma chatte. C’est la première fois que vous la voyez sous cet angle.

Chantal se mit à genoux entre les chevilles complaisamment écartées. Elle avança la tête pour détailler les grosses lèvres charnues qui laissaient échapper des nymphes bizarrement festonnées de brun au milieu des bombements d’un sexe plus clair que le noir du buisson l’aurait fait croire. Christine retroussa obligeamment sa touffe pour montrer le haut de sa fente que couronnait un court capuchon pâle d’où pointait le bout rose vif du clitoris. Chantal palpita légèrement des narines.

— Vous me rendez odorante, souffla Christine.
— Puis-je ?
— Faîtes…

La langue de Chantal dessina les replis, les força à s’épanouir à petits coups tendres, glissa entre les nymphes pour en cueillir la rosée, remonta sur le clito qu’elle titilla pointe à pointe.

— J’aime le goût de toutes vos lèvres, Christine.
— Merci, Chantal, c’était très doux. Ai-je le droit de vous goûter à mon tour ?
— Je vous le dois, ma chérie.

Chantal se posa au-dessus du visage de Christine en retroussant sa jupe.

— Vous avez les petites lèvres très longues et épaisses, c’est vrai… c’est charmant.
— Vous trouvez ?
— Oui ! Me laissez-vous les prendre ?
— Bien sûr !

Christine ...