1. Le vendredi, deux bites permises (1)


    Datte: 18/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: 2CABT1, Source: Xstory

    ... arrivés au restau ?
    
    — Je... nous... euhh...
    
    Je n’arrive plus à aligner 3 mots.
    
    Il sait y faire, et parcourt mon intimité avec délicatesse et fermeté.
    
    Je vois Marc au loin, et ne sais plus quoi faire, je suis coincée entre excitation et honte.
    
    Mais mon choix a pu se faire quand je retrouve au loin, dans le regard de mon chéri, un acquiescement de son regard.
    
    Mon patient me dit « suis-moi, je vais te montrer ma chambre, tu ne vas pas être déçue » et moi, petite fille sage, je m’exécute, et suis cet inconnu. Quelle Salope je suis, je laisse mon mari en plan, pendant que je vais aller me faire sauter comme la dernière des putes.
    
    Je n’ai jamais fait ça, et je n’en reviens pas. Je n’ose pas lui dire non, j’ai tellement envie de me faire baiser, je n’attends que ça depuis ce matin !
    
    Nous prenons l’ascenseur pour monter au 16e étage. A peine la porte se referme, qu’il me prend la tête et m’embrasse à pleine bouche, ce qui à quoi je réponds en lui caressant sa grosse teub bien gonflée, à travers le tissu de son pantalon. Quelle Salope...
    
    Ding, 16e étage.
    
    Il ouvre la porte de sa chambre, met un oreiller au sol devant le miroir du dressing, et me lance « tu vas me sucer sale garce, tu vas gober ma queue, tu te souviens de ce que je t’ai dit ce matin ? Voilà mon outil pour combler les conduits, en l’occurrence on va commencer par ta bouche ».
    
    Il baisse son froc, sort sa grosse queue, bien épaisse, qui fait eu moins 20 centimètres sur 5. Je vais me faire ...
    ... dérouiller.
    
    Je ne me suis pas reconnu quand j’ai, à ces mots, ouvert ma bouche pour avaler ce chibre tendu à mes lèvres. J’aime qu’on me parle sèchement de la sorte, et que l’on me traite comme une chienne. Dans quoi je me suis fourrée... enfin là, je crois que c’est moi qui vais me faire fourrer !
    
    Je me regarde dans le miroir et me vois à genoux, une énorme et longue bite inconnue dans ma bouche, ma main qui n’arrive pas à faire le contour de son dar tellement ce mat est épais, et le pompe comme une pute, assoiffée de sexe.
    
    Je sens qu’il aime ça par les râles qui sortent de sa bouche quand j’enfonce plus profond cette colonne dans ma gorge. Je bave autant que je mouille, et autant vous dire que c’est l’océan ! C’est la première fois depuis 10 ans que je goûte à une nouvelle queue, et ce n’est pas désagréable, ni pour me déplaire. Son odeur et sa texture ne sont pas la même que mon mari, plus âcre, mais avec une peau plus douce.
    
    Mon amant m’attrape les cheveux, et me baise le visage à gros coups de reins dans ma bouche, les bruits de bouche résonnent dans toute la pièce. Je me fais littéralement défoncer la gueule ! Quelle Salope je suis ! (Mais j’aime tellement ça...)
    
    Il retire sa bite, faisant couler un long filet de bave par la même occasion, et me dit : « retourne-toi ma cochonne »
    
    Et là, Marc, mon mari, au bord du lit, froc baissé, la bite bien raide, qui me dévore du regard.
    
    Est-ce qu’il était là depuis le début ? Quelle Salope je suis...
    
    — Je ...