1. Suzanne


    Datte: 16/09/2022, Catégories: ffh, bain, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... donner… Il me l’a dit, et redit. C’est vrai que moi non plus je n’ai aucun amour à donner à Suzanne, puisque j’ai tout donné à Léo. Et cependant l’autre jour quand elle m’a pris la main, le sein, les fesses, j’ai perdu pied.
    
    Quelques semaines plus tard, chez Marianne :
    
    SUZANNE – Je voulais savoir ce que ça va me faire de voir Léonard faire l’amour quand ce n’est pas avec moi. Comme toi, Marianne, l’autre jour au bord de la rivière.
    
    MARIANNE – J’ai été subjuguée. J’ai cherché au fond de moi un peu de jalousie et je n’en ai pas trouvée.
    
    SUZANNE – En revanche, ça ne te dérangerait pas que moi, je crève de jalousie en vous voyant.
    
    MARIANNE – Non, ça ne me dérangerait pas, mais je doute, te connaissant, que tu ailles jusque-là, d’autant plus que c’est ton idée à toi de nous réunir tous les trois pour que nous baisions à deux.
    
    LÉONARD – On aurait pu tout aussi bien faire ça à trois, puisque vous deux vous avez déjà…
    
    MARIANNE – Ah non ! Il y a les deux qui font l’amour et la troisième qui regarde ! Elle restera habillée sans même se caresser. Et elle ne mouillera que des yeux, comme moi l’autre semaine. D’ailleurs, il faut respecter la distanciation sociale et sexuelle. À deux, on a le droit ; à trois faudra attendre la fin du mois prochain.
    
    SUZANNE – Tu veux que je mette mon masque ?
    
    MARIANNE – Oui. Du reste, nous aussi nous allons le mettre.
    
    LÉONARD – Nous aussi ?
    
    MARIANNE – Oui, bien sûr. Et les gants en caoutchouc aussi. Oui, en caoutchouc, je ...
    ... n’ai pas trouvé mieux que ces paires couleur jaune paille.
    
    Léonard et Marianne se déshabillent sans fausse pudeur, ne gardant que leurs masques et leurs gants. Ils sont debout face à face, masque contre masque. La main de Léo caresse les seins de Marianne dans un bruissement de caoutchouc. Celle de Marianne descend jusqu’aux testicules de Léo qu’elle cajole lentement.
    
    MARIANNE – À cause du masque, je vais te faire une fellation avec mon vagin, ce qui est de la dernière extravagance, tu avoueras.
    
    LÉONARD – Et moi, dans le même temps, je te fais un cunnilingus avec mon membre qui aspire tout aussi bien à remplir le rôle. C’est complètement iconoclaste, mais tant mieux.
    
    MARIANNE – Je sens tout ton amour dans ces coups de reins, un amour profond, sincère, unique.
    
    SUZANNE – On fait l’amour avec quelqu’un, et pas contre quelqu’un d’autre.
    
    MARIANNE – Toi, tu te tais, tu es au théâtre, tu as juste le droit d’applaudir. Ce n’est pas à toi d’écrire les répliques. Et du spectacle, tu vas en avoir pour ton argent, rassure-toi. Léo, j’ai l’impression que mon cul s’ouvre à de nouvelles perspectives. Vérifie un peu de tes doigts si élégamment gantés.
    
    LÉONARD – Effectivement, il y a comme un bâillement de ce côté. J’y fais pénétrer tour à tour tous mes doigts.
    
    MARIANNE – Prends le temps. Mais quand tu en seras au pouce, laisse-le gant à l’intérieur et remplace ton doigt par ton chibre. Une fois le pouce ôté, pousse au crime. Encule-moi à mort ! Oh, c’est bon ! Que c’est ...