La punition de la directrice (10) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (10)

... le fond du sofa.

J’ai fait monter Jenna sur ce canapé et lui ai ordonné de bien redresser sa croupe, d’avancer ses genoux, et elle a la tête couchée de côté sur les cuisses du grand Noir.

Il a passé un bras par-dessus son dos et la maintient ainsi, tandis que je me mets à la pilonner avec vigueur.

Kao de sa main libre lui pince et lui étire les tétines. Elle n’est plus que cris - perçants à cause du traitement que subissent ses mamelons - plus rauques à chacun de mes coups de reins rageurs qui lui envoient mon bélier tout au fond de son cul.

Elle me fait un tel effet que je suis obligé de déculer rapidement, et je me mets à éjaculer à longs jets : mon foutre asperge ses reins et le haut de ses fesses.

Je lui assène deux très fortes claques sur sa croupe, d’un air satisfait, faisant hurler la belle brune de surprise.

« - Ah Jenna... Qu’elle est bonne cette salope ! Mon cher Kao, je pense qu’elle devrait être partouzée.

Qu’en penses-tu, Jenna ? »

Pour toute réponse, elle gémit, vidée par les orgasmes que nous lui avons fait subir et cet entraînement de soumise qui semble être une nouveauté pour elle.

° ° °

Je suis vidée par ce que ces deux-là ...

... viennent de me faire subir, tant par l’exercice physique que par les orgasmes qui m’ont détruite bien malgré moi.

Étant canadienne (et élevée avec une éducation catholique très stricte) je ne comprends pas le mot « partouzer », mais je devine qu’il doit s’agir de quelque chose de sale, d’humiliant, et qu’ils veulent m’entraîner vers encore plus de dépravation.

Pourtant, après la fin de cette folle séance, ils se montrent très gentlemen, surtout l’Africain, qui est, semble-t-il, vraiment un homme du monde. Il m’invite à aller me doucher puis à venir prendre un thé avec eux. Il appelle un traiteur et commande des petits fours.

Après la douche, je les rejoins, vêtue d’un peignoir chaud et moelleux. Je me sens comme neuve. Ils sont assis confortablement dans le canapé. Ils sont déjà en train d’évoquer leur projet de future soirée, mais ils m’en disent peu.

Ils finissent par convenir d’une date, à laquelle je consens (je n’ai pas le choix, ils sont très clairs là-dessus... ils évoquent encore mes graves manquements professionnels...) En fait, ils planifient un dîner dans un restaurant chic. Je suis très étonnée. Je suis sûre que ça cache quelque chose.

(A suivre...)