La punition de la directrice (10) - Histoires de Sexe

La punition de la directrice (10)

La Jenna n’a pas l’air bien maligne, comme ça, le fessier à l’air, avec ses bas autofixants et sa culotte entravant encore ses cuisses bien développées, dont le galbe est rehaussé par les hautes bottes de pute de luxe.

Kao finit le travail : les ciseaux en main, il coupe un côté de la culotte, et il l’en libère. Puis il lui ordonne de bien se positionner, c’est-à-dire cuisses écartées.

Kao semble fasciné par le fessier épanoui et bien blanc de la brune.

— Hummmm... quel beau cul de bourgeoise...

Il caresse un peu ses fesses, les entrouvre, les écarte franchement, examinant avec intérêt et attention la rosette froncée qui semble si novice. Il prend une noisette de lubrifiant, en enduit la cupule froncée... Jenna frissonne... le froid ? La peur ?

Soudain, il enfonce lentement son index, forçant le petit anneau, et bien décidé à explorer le petit conduit et d’en apprécier l’étroitesse... Un sourire l’éclaire, admiratif :

— C’est vrai qu’elle est serrée comme une jeune fille, cette salope... Une vraie hystérique, une allumeuse qui ne se rend pas compte où l’entraîne son petit jeu de séduction. Elle a dû longtemps avoir une sexualité chiche et sage... un coït hebdomadaire à la papa, rapide, et en missionnaire avec son régulier... Mais la soumission au mâle, à un vrai mâle, lui manquait... elle devait fantasmer, la garce, sans jamais oser aller jusqu’au bout. Attends un peu, continue-t-il en faisant aller son doigt dans ses entrailles (et vu les mouvements du ...

... corps de Jenna et ses petits cris, je devine qu’il lui enfonce vraiment le plus loin possible, sans ménagement), « des sensations, des émotions fortes, tu vas en avoir, et tu vas savoir ce que c’est que de se faire défoncer par un étalon dominateur comme une poupée de chiffon, salope ! »

Sur ce, il retire son doigt, et contre toute attente, il se met à la fesser, lentement, mais avec des claques retentissantes, d’une force surprenante : le salon s’emplit du bruit sec des claques et des cris de Jenna, qui deviennent rapidement des hurlements.

— Faites-moi taire cette pute.

Bien entendu, je ne vois rien de mieux que de lui enfoncer ma queue toute dure et arquée dans la bouche, et de lui enfoncer jusque dans le fond de sa gueule pitoyable.

Je baise sa bouche le plus loin possible, et ses cris se transforment en gargouillis.

Kao a cessé la fessée ; il a attrapé à pleines pognes les deux miches toutes rosies de la femme mûre et a glissé sans faillir son gros phallus noir dans l’orée de son sexe.

— Putain, elle est trempée, elle dégouline ! C’est vraiment ce qu’elle aime...

Le membre est rentré d’une seule poussée dans la chatte de la brune, jusqu’en butée, et elle a reçu cette saillie comme un coup de poing dans l’estomac !

Ses immenses mains se sont refermées sur la taille si blanche en contraste, et l’emprisonnant, il s’est mis à la pistonner, ébranlant tout son ventre, son utérus, comme un bélier, comme un marteau-pilon. Je retire ma queue de la bouche de ma ...