1. Dressage d'une flic arrogante (4)


    Datte: 14/09/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... frustration. J’enrage pendant que lui s’amuse comme un petit fou. Je tente une brusque poussée en arrière et parviens à l’enfoncer jusqu’à la moitié. Victorieuse, je soupire de plaisir. Mais Stan saisi ma crinière et la tire en arrière, m’obligeant à me cambrer au maximum. Il ressort presqu’entièrement , laissant juste son gland.
    
    Alors il m’assène une virulente fessée, dont le son résonne dans la pièce vide. La douleur est brève mais violente et j’ai à peine le temps de m’en remettre qu’une deuxième s’abat sur l’autre fesse. Cette douleur déclenche des frissons dans tous mes membres, je suis à bout j’ai tellement envie de le sentir. Pour cela, il faut que j’arrête de me battre. Que je me soumettes complètement. Et c’est ce que je fais.
    
    Sokolov relâche mes cheveux pour pouvoir empoigner ma croupe et alors que je croyais que le supplice allait encore durer, il se plante en moi jusqu’à la garde d’un puissant coup de reins. Enfin… Enfin je peux savourer la violence de ses assauts et le plaisir qui les accompagne. Submergée par cette extrême volupté, je ne fais même plus attention au volume sonore de mes cris. Stan est obligé de se coucher contre moi et venir d’une main me bâillonner pendant qu’il grogne son plaisir contre mon oreille. La jouissance déferle sur moi à nouveau et cette fois, il l’atteint avec moi dans des derniers coups de bassins rageurs.
    
    Cet épisode est si violent, que j’ai du mal à m’en remettre et nous restons un long moment collés, couchés sur le sol ...
    ... sale de cet appartement où nous sommes sensé travailler.
    
    C’est lui qui brise le premier le silence.
    
    — Tu as compris maintenant que tu es entièrement à moi ? Ton corps a parlé pour toi, annonce-t-il avec un grand sourire
    
    — Je ne suis pas un objet, retorqué-je, vexée
    
    — Non, pas un objet. Mais tu m’appartiens que tu le veuilles ou non. Je sais que tu ne prends vraiment ton pied qu’avec moi.
    
    — C’est juste du sexe entre toi et moi.
    
    — Exact.
    
    — Et ça, ça me dérange. J’ai besoin de plus.
    
    — Plus que de prendre ton pied au lit ?
    
    — Le sexe ne fait pas tout.
    
    — Quoi, tu vas venir me parler d’amour juste après t’être bien faite défoncer le cul ? Laisse moi rire.
    
    — On ne peut pas discuter avec toi !
    
    — Pourquoi ce besoin de se prendre la tête ? On couche ensemble quand on en a envie et c’est tout, il n’y a pas à chercher midi à quatorze heures.
    
    — Tu veux continuer comme ça ? m’étonné-je. Moi avec David, toi avec la stagiaire et des petits coups de bite par-ci par-là ?
    
    — Absolument pas. Tu vas arrêter de coucher avec ce pauvre type et c’est non négociable. Je te le répète : tu es à moi.
    
    — Personne ne me donne d’ordre !
    
    — Maintenant si. Moi. Je suis ton Maître et ça c’est toi qui l’a choisi. Enfin, ton corps plutôt. Tu ne peux pas lutter contre ça. Arrête de nier l’évidence.
    
    — Il est hors de question que je sois la seule à me réserver, consentis-je. Si nous continuons, si j’accepte de t’obéir, il faudra que je sois sûre d’être la seule que tu ...