Dressage d'une flic arrogante (4)
Datte: 14/09/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... reste choquée quand je vois qui se présente pour nous approvisionner. Le Brigadier-chef Sokolov entre, m’adressant à peine un regard et échange une poignée de main avec Bertrand qui se prépare à partir.
Non...Je ne vais pas faire une planque toute la nuit avec lui ? Apparemment, c’est bien ce qui se profile à l’horizon car je n’ai pas le temps de prononcer un mot que voilà déjà la porte qui se referme sur mon collègue, qui m’abandonne avec mon bourreau.
J’ai la gorge sèche mais j’essaie de paraître la plus naturelle possible. Je récupère le sandwich qu’il a apporté et croque dedans pour montrer mon indifférence face à cette situation.
Assise sur le sol, appuyée contre le mur, je mastique négligemment mon sandwich en face de cet homme qui me fixe de son regard sombre. Nos yeux s’accrochent et une lutte silencieuse s’engage entre nous. Cela semble durer des heures. Aucun de nous ne dit mot. Un peu de mouvement dehors nous fait sortir de notre duel sourd et j’en profite pour prendre quelques photos. Rien de bien intéressant, juste deux trois ados qui rentrent chez eux.
Sokolov lui en a profité pour venir se placer derrière moi et sa présence dans mon dos me perturbe bien plus que je ne le veux. Il s’approche jusqu’à venir se coller à moi et je sens contre mes fesses son désir si impérieux, ce qui suffit à causer ma perdition. Pourtant je résiste et ne bouge pas lorsqu’il vient frôler de ses lèvres mon épaule jusqu’à ma nuque. Ses mains restent contre lui, il ...
... refuse de me toucher, il attend que je le fasse. Et ce n’est pas l’envie qui m’en manque mais je retiens ces violentes pulsions qui m’animent, trop fière pour le laisser gagner.
Il persévère pourtant, passant son nez dans mes cheveux, inspirant longuement leur parfum. Des frissons courrent dans tout mon corps, qui lui me supplie de plier. Mais je tiens bon et enfin, mon entêtement a raison de lui. Il empoigne ma chevelure et me la tire en arrière d’un coup brusque, laissant mon cou libre d’être dévoré.
— Tu vas céder garce ! Gronde-t-il avant de me mordre le cou.
La douleur de sa morsure et de la tension sur mon cuir chevelu agissent comme un électrochoc. Je tourne le visage vers lui et nos lèvres enfin face à face, se heurtent et se fracassent, anéantissant toute notre résistance.
D’un geste il me retourne, continuant de dévorer mes lèvres et m’emporte contre le mur, contre lequel il me plaque. Sa main se perd dans mes cheveux pendant que l’autre saisi une de mes cuisses et la remonte contre lui. Les miennes défont ses vêtements, se plaisent à caresser chaque recoin de sa peau. Il se presse contre moi, me mord et m’embrasse en même temps.
J’ai envie de le rendre fou, encore plus qu’il ne l’est déjà. Je le repousse brusquement et ne s’attendant pas du tout à cela, il se recule en me jetant un regard interrogateur. J’en profite pour prendre le dessus et à mon tour le plaque au mur si violemment que le mur en tremble. Je m’agenouille à ses pieds, sans le quitter une ...