Dressage d'une flic arrogante (4)
Datte: 14/09/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... dernier comprend tout de suite que quelque chose s’est produit. Je suis bonne pour un tas de questions en rentrant… Quand Sokolov vient s’installer et que le jeu reprend, celui de David fait de même. Il prend bien soin de vérifier que Stan nous regarde pour passer sa main sur ma cuisse et la remonter jusqu’à mon entrejambe. Il appuie sur cette zone sensible et d’un coup d’œil, il me fait comprendre qu’il veut que j’écarte les cuisses. Décidée à lui faire comprendre qu’il ne m’aura pas, j’obéis à David et me laisse faire, tout en continuant nonchalamment ma discussion.
Sokolov tente de masquer son irritation, mais sa mâchoire tressaille. Il reste silencieux la plupart du temps, s’en tenant au minimum de syllabes possible.
— J’ai besoin d’aller aux toilettes, tu peux me montrer où c’est Meg ? me demande David d’un air faussement innocent.
— Oui, bien sûr, dis-je, ravie de sa spontanéité
Je me lève sous le regard furieux de Stan, qui a très bien compris que David n’avait besoin d’aucune aide. Cette petite entrevue dans les toilettes me paraît être une si douce vengeance quand on pense à ce qu’il m’avait fait subir la dernière fois. Sauf que malheureusement pour moi, David se contente de se marrer au lieu de me sauter dessus. Je le fais taire en l’embrassant, puis descends jusqu’à sa braguette que j’ouvre pour en sortir son sexe.
— Qu’est-ce que tu fais ? s’étonne-t-il. Tu vas faire ça là ? Mais et les autres ?
— Tout le monde se doute de ce qu’on fait alors ...
... tais-toi et savoure ta pipe ! m’irrité-je
Il prend un air boudeur alors que je me saisis de sa verge qui commence à gonfler entre mes doigts. Bien vite, mes lèvres s’enroulent autour de ce bâton de chair et le traitement que je lui inflige amplifie très vite ses ardeurs. Il reste appuyé contre la porte, les yeux fermés pendant que je m’active sur son sexe qui se met à pulser contre ma langue. Il ne retient pas le gémissement rauque qui franchit ses lèvres pendant qu’il se déverse dans ma bouche. Déjà ? Je n’y ai pas été fort pourtant, même pas de gorge profonde…
— Et bien, tu es sacrément douée. Et dire que c’est moi qui ai le privilège de goûter à tes talents ! Sokolov doit être vert.
— Ouais, allons-y maintenant, sinon je vais me faire chambrer pendant un moment.
On retourne dans le salon et je prends un malin plaisir à m’essuyer les lèvres du revers de la main quand le brigadier-chef me regarde m’avancer. L’air qu’il affiche sur son visage ferait peur à n’importe quel inconnu. Je sais que la rage gronde en lui. Cette victoire est si jouissive !
Au moment de partir, je vais chercher nos manteaux dans la chambre de Bertrand et alors que je me retourne, de grandes mains m’agrippent et me plaquent contre le mur. Sokolov me tord le bras dans le dos, juste assez pour que je ne lui résiste pas. Il vient se coller à moi et me glisse à l’oreille :
— Tu t’amuses bien j’espère…
— Assez je dois l’avouer.
— Je sais pas ce qui me retient de te baiser tout de ...