Les actrices (11)
Datte: 14/09/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Ambassade, Source: Xstory
... chemisier avant de s’en aller en sautillant, particulièrement fière de sa performance. De mon côté, après m’être rhabillé, je restais un instant dans l’incertitude, ne sachant pas si je devais rappeler mon potentiel vendeur. Le bruit d’une voiture me rappela à la réalité, et je me dirigeai vers l’avant du gîte pour accueillir le visiteur. Lorsque la voiture s’arrêta, la conductrice en sortit et ce fut comme une apparition. Anaëlle s’approcha de moi dans une sublime démarche chaloupée, son corps sculptural mis en valeur par une courte jupe tailleur gris, un chemisier blanc à manche longue délicieusement cintré et une paire de talons hauts qui ne devait pas lui faciliter la marche sur ce sol irrégulier.
— Salut. Je suis mandatée par ma fantasque de frangine, annonça-t-elle avec son habituel air hautain. Un trousseau de clés pour deux ce n’est pas vraiment pratique et sans son portable, elle n’ira pas bien loin. Ce serait pas mal qu’on les retrouve.
— OK, on va chercher. Mais pourquoi est-ce toi qui viens et pas elle ? Tu arrives directement du boulot apparemment.
— Parce que vous me l’avez tellement secouée la nuit dernière qu’à l’heure qu’il est, elle dort à poings fermés. Deux journées de boulot avec une nuit de baisenon-stop entre les deux, c’est dur de résister. Elle est rentrée en même temps que moi, et vu son état, j’ai préféré la mettre au lit et venir moi-même.
Je souris en entendant ces paroles. Même si elles passaient leur temps à se charrier ...
... mutuellement, les deux sœurs étaient très proches l’une de l’autre. J’invitai donc la jolie blonde à se diriger vers les chambresvia l’escalier de service, non sans me débrouiller pour me placer derrière elle et ainsi profiter de son postérieur impeccablement moulé dans sa jupe. Arrivé dans le couloir des chambres, mon téléphone sonna et j’eus la surprise de voir qu’il s’agissait de mon vendeur. Laissant là Anaëlle après lui avoir indiqué la chambre de Chloé, je retournai dehors poursuivre ma négociation. Vingt bonnes minutes plus tard, c’était chose faite, nous étions tombés d’accord sur un prix. Il restait à fixer le calendrier, mais cela pouvait attendre un peu. Avant de raccrocher, mon interlocuteur m’avoua que j’étais sans doute la personne la plus dure en affaire qu’il ait connue, mes réponses monosyllabiques l’ayant convaincu que je n’étais pas là pour plaisanter.
Je ne pus m’empêcher de sourire.
Non seulement il n’avait pas remarqué ce qu’il se passait, mais de plus, la pipe de Chloé m’avait fait passer pour un négociateur intransigeant et sans doute fait baisser le prix. Je me jurai alors de la remercier d’une manière ou d’une autre.
En retournant vers les chambres, je passai devant la fenêtre de la cuisine et vis Mélanie totalement nue qui chipait un petit gâteau, regardant à gauche et à droite si personne ne la surveillait. La scène me fit beaucoup rire. Ne pouvant résister à la tentation, j’entrai sans crier gare dans la pièce, faisant sursauter la jeune femme.
— ...