1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... relâchement provoqué par le plaisir pour joindre l’annulaire à la fête.
    
    Mes jambes flageolent, trop d’émotions me submergent, je recule doucement pour m’étendre sur le lit, jambes relevées. Marie a quitté son peignoir et s’est assise de dos à mes côté, d’une main je peux caresser son minou brûlant et elle n’a qu’à se pencher pour m’emboucher ou embrasser la gourmande. Mes doigts entrent et sortent du vagin palpitant et elle lève même la jambe lorsque je tente de m’immiscer entre ses fesses. Cette caresse interdite m’est aujourd’hui facilitée, je me contente d’un majeur inquisiteur. Par habitude, ma main libre vient retirer sa tête au moment fatidique.
    
    — Non chéri, prend-elle le temps de dire, je veux te boire.
    
    Pas le temps de terminer sa phrase, quelques giclées l’inondent, elle en laisse filer un peu et ce sont deux bouches qui me nettoient. Je ne suis plus empalé, Julie pousse le vice à venir récolter un filet de semence égaré sur mes muqueuses.
    
    Les filles finissent par s’embrasser avec passion et laissent tomber le mâle groggy qui les regarde le regard vide. Elles roulent l’une sur l’autre comme si elles ne faisaient qu’une.
    
    OooOOOooo
    
    L’image du corps à corps s’estompe peu à peu pour me laisser dans le noir, une musique douce me ramène à la réalité. Je me retrouve allongé sur le dos, les bras le long du corps et les jambes écartées d’un angle d’environ trente degrés. C’est le préposé de la société que j’ai choisie qui m’a installé dans cette ...
    ... position.
    
    Maintenant, il retire le casque qui englobe mon crâne et mes yeux. Je peux voir la cellule qui m’a été allouée pour soixante minutes contre une somme rondelette. La lumière diffuse ne m’agresse pas. Je ne suis pas désentravé, il retire en douceur le demi-anneau qui couvre ma bouche puis toujours en silence fait de même avec celui beaucoup plus volumineux qui ceint la zone entre mon nombril et mes genoux. Ses mains gantées retirent délicatement le sexe du conduit devenu poisseux dans lequel il l’avait glissé. Je me redresse et appuie sur mes poignets pour me sortir de la coque qui a accueilli mon postérieur. Je jette un coup d’œil sur l’assise dont la matière à mémoire de forme se remet en place, les souillures autour du perçage central me rappellent les élancements provenant de mon séant.
    
    — Vraiment bien foutu ces motivateurs à fantasmes, dis-je à l’employé qui m’emmène dans la douche à jets multiples.
    
    Pas de réponse, je me laisse nettoyer par les jets et les éponges qui au bout de bras automatisés me frottent. La petite canule qui vient s’insérer dans mon anus ne me surprend plus autant que lors de la toilette précédant la séance. Un léger lavement puis nouveau nettoyage et séchage intégral. Un pan de douche s’efface pour me laisser entrer dans le réduit où je m’étais déshabillé ; mes fringues m’attendent sur une étagère, lavées et pliées.
    
    Pour ma première tentative dans ce type de boutique offrant des services érotiques je ne suis pas mécontent d’avoir choisi une ...