Rêve ou réalité ?
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... tables. Il est déjà dix-neuf heures et les premiers invités arrivent, Julie fait partie de ceux-là. Tel que promis, elle porte une robe, des bottes et aucune trace de maquillage sur son doux visage.
Le tissu recouvre son corps jusqu’aux chevilles, mais elle le soulève discrètement pour me faire voir que ses souliers à talon sont bien des bottes. Une ceinture large est négligemment bouclée sur ses hanches et cintre le vêtement, lui donnant un air de pin-up. De larges bretelles soutiennent la partie haute un peu bouffante qui ne moule pas la poitrine. Celle-ci bouge librement et il suffit de la regarder marcher pour pouvoir s’extasier devant les ondulations de ses globes.
Elle s’intègre plutôt pas mal, les femmes l’ont adoptée surtout depuis qu’elle a répondu en rigolant, certes, mais assez sèchement à mes deux collègues de boulot qui lui ont fait une réflexion à la cantonade pour que tout le monde entende :
— Wouawww, tu es une vraie fille ! Ça change de tes vilaines tenues de banlieue !
— C’est pour ne pas avoir à entendre ce genre de réflexions machistes et puériles que je m’habille en ado !
Elle fait donc partie intégrante du club des filles qui sont contentes de compter un nouveau membre de caractère. La femme de Marc en rajoutera même une couche en enfonçant son mari d’une nouvelle remarque cinglante, cela fait rire tout le monde sauf l’intéressé qui ne parlera plus à son épouse de la soirée. Nous sommes réunis devant la table de camping dressée près de la ...
... poêle à paella, je peux ainsi partager l’apéritif avec tout le monde tout en finissant la cuisson du plat espagnol.
Quand nous passons à table, certains ont déjà un peu exagéré sur le pastis, et les vins rouges et rosés qui coulent à flots n’arrangent pas les choses. L’ambiance est au rendez-vous, les chants paillards ponctuent les discussions enflammées, certains dansent même lourdement sur la musique. Julie se fond dans la masse et ne fait aucune allusion susceptible de révéler notre liaison.
Vers onze heures, je vais aux toilettes et profite du calme pour envoyer mes compliments du soir. L’alcool aidant, le message est plutôt long et sûrement pas très clair. Je reviens dans la salle des fêtes pour voir ma femme soutenir Julie qui, hilare, hurle qu’elle est pompette. J’aide à la porter jusqu’à la chambre d’amis.
— C’est bon, je m’en occupe, dit ma moitié en commençant à enlever une botte, je n’ai pas besoin d’un voyeur aviné, ajoute-t-elle en riant.
Je les laisse, ferme la porte puis m’en vais après avoir écouté quelques secondes pour vérifier si tout se passait bien. Mon épouse lui parle doucement pour la rassurer, la demoiselle ne cesse de se marrer. Je retourne à la soirée le cœur léger. À jeun, j’aurais sûrement stressé sur le fait que l’état de Julie la fasse parler.
Départ des derniers invités aux alentours de deux heures du matin, le temps de remplir le lave-vaisselle, faire le ménage, ranger un peu, il est trois heures trente quand je me retrouve nu à ...