Rêve ou réalité ?
Datte: 24/08/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
frousses,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
hdanus,
Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe
... soir, était-ce une folie de jeunesse ou une infidélité avérée ?
— Une soirée étudiante et je peux ajouter que je n’ai jamais trompé ma femme.
— (sourire) Deux réponses, je suis magnanime donc j’enlève autant de parures.
L’escarpin restant se retrouve rangé avec son collègue tandis qu’une chaussette de nylon vient se loger dedans. Ses pieds sont fins avec les orteils légèrement boudinés, je les trouve très mignons. Je me penche pour remarquer que les ongles rouge clair ont des dessins filaires avec plusieurs teintes orangées représentant un cœur sur le gros orteil et de petites gouttes sur les autres. Je ne demande pas la signification, s’il y en a une, pour ne pas prendre le risque de les voir se recouvrir et perdre un nouveau vêtement.
— Voudriez-vous enlever mon autre chaussette, s’il vous plaît ?
— Avec plaisir, dis-je en m’agenouillant pour retirer le fin tissu tout en massant légèrement sa voûte.
— Seriez-vous prêt à la tromper si l’occasion se présentait ?
Elle ne peut être plus claire, elle veut savoir si je suis assez attirée par elle pour aller jusqu’à duper mon mariage. D’un coup, mon esprit est assailli de voix m’implorant de ne pas commettre de bévue alors que d’autres me poussent à profiter de la vie.
— Je crois que oui, murmuré-je en prenant ses pieds dans mes mains.
— Je ne sais pas si ce genre de réponse mérite récompense. Je ne vous trouve pas sûr de vos désirs. Allez vous asseoir et retirez vos chaussures, n’oubliez pas que vos réponses ...
... doivent être affirmées.
Son sourire sadique et ses prunelles écarquillées me donnent encore plus envie de me donner à elle. Être à sa merci, être son jouet me plaît beaucoup. Je me permets d’aller verrouiller la pièce où nous nous trouvons pour ne pas être surpris. Elle ne commente pas ma prise d’initiative et continue de m’asticoter.
— Pour vous rassurer, je vous promets que demain je ne ferai aucune allusion ni aucun geste équivoque et susceptible de vous mettre mal à l’aise. Vous pouvez me faire confiance.
— Merci.
— Et je serai dans la tenue que vous m’avez choisie, seriez-vous d’accord pour ouvrir trois boutons de votre chemise ?
Je réalise le souhait sans répondre et écarte les pans pour qu’elle puisse regarder ma poitrine peu velue, un petit triangle entre mes seins, mais elle ne peut voir la ligne de poils qui descend vers mon pubis et entoure mon nombril. Puis elle reprend avec des questionnements plus terre-à-terre sur mes passions, mes sports préférés, etc. Cela fait retomber un peu la tension et permet de calmer mon esprit surchauffé.
— Je sais que vous appréciez ma poitrine. Si je la libère à nouveau, seriez-vous prêt à m’envoyer un compliment par SMS, matin et soir, à partir d’aujourd’hui jusqu’à votre retour au bureau ?
— Bien sûr ! réponds-je, survolté.
— Je prends note de votre promesse, dit-elle en quittant le boléro pour laisser place au haut à manches courtes près du corps. Je peux vous faire confiance ? demande-t-elle en basculant le tissu ...