1. Rêve ou réalité ?


    Datte: 24/08/2018, Catégories: fh, ff, fbi, hplusag, frousses, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral hdanus, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... souffle de rester naturelle sous ses vêtements. Je souffle comme si je courais un marathon, j’ai l’impression d’être dans une étuve et mon pénis palpite malgré le manque de place. L’étudiante prend plaisir à me torturer, elle continue de me taquiner, jouant sur les mots.
    
    — Soit, j’omets ma lingerie. Quand vous dites que je reste naturelle, vous souhaitez aussi que je ne taille rien ?
    
    Je deviens aphone tout d’un coup, ce qui a pour conséquence la fermeture du crochet. Décidément j’ai du mal avec cette troisième agrafe. Il faut que je me ressaisisse si je veux atteindre la vision finale. J’essaie de me concentrer pour ne pas buter sur une de ses questions déstabilisantes. Deux bonnes réponses et les portes s’ouvrent, pourquoi cette lingerie a-t-elle quatre agrafes alors que dans mes souvenirs trois est le maximum, à part pour les bustiers. Sûrement que les bonnets astronomiques obligent à plus de sécurité.
    
    — Pour rester dans le même sujet, maquillage ou nature ?
    — Pour être naturelle, pas besoin de maquillage.
    — Je défais donc l’agrafe. Je peux sûrement m’affranchir de la dernière puisque votre réponse me semble aussi approuver le sujet précédent, je me trompe ?
    — Pas du tout, dis-je comme un gamin ayant réussi à attraper le pompon.
    — (sourire) Je m’en doutais, dit-elle en soulageant la tension du dernier crochet.
    
    Ses mains s’écartent pour me laisser le loisir de mater sa poitrine désentravée. Superbement galbée, incroyablement suspendue… Je suis abasourdi et ...
    ... en même temps frustré par la surprise, en effet deux étoiles autocollantes, une rouge sur le sein gauche et une bleue sur le droit m’empêchent de profiter du spectacle. Décidément, la coquine sait se rendre désirable. Elle descend de son perchoir et referme ses vêtements en allant se positionner sur sa chaise.
    
    Je la regarde vaquer avec application à ses occupations. Rien à voir avec la fille timide qui a déboulé il y a quelques semaines. Je ne fais que fantasmer, je n’ai pas une seule discussion avec elle à part son sujet de stage. Voilà pourquoi je décide d’engager une conversation sur ses passions, sur sa vie d’étudiante, bref ce que l’on fait normalement avec le stagiaire que nous chapeautons.
    
    J’apprends pêle-mêle qu’elle aime le cinéma français, l’équitation et la natation, les balades en montagnes, mais pas le ski, apprécie la mer mais celle des Caraïbes, n’a plus de petit ami depuis deux mois, déteste les brocolis et le sirop de pêche, adore les jeux ainsi que surfer sur internet. Julie parle très calmement, comme si le petit jeu du matin n’avait jamais existé.
    
    Je trouve cette sérénité impressionnante et lui en fais part. Elle répond que d’habitude sa timidité ne lui permet que rarement de se lâcher ainsi mais qu’elle m’a trouvé touchant et sincère depuis l’épisode des rêves. Elle a donc décidé de prolonger le jeu puisqu’en plus elle n’est pas indifférente à mon égard. Julie utilise des mots détournés au sujet des sentiments qu’elle éprouve mais je ne suis pas ...
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