1. La suite de nos amours


    Datte: 12/09/2022, Catégories: fh, fplusag, profélève, Collègues / Travail école, toilettes, amour, Oral fsodo, init, amouroman, Auteur: Lemmy, Source: Revebebe

    ... peux résister. Nous nous enlaçons, malgré l’interdit, et nous nous embrassons fougueusement. Elle me dit qu’elle a bien vu que j’étais en érection et que cela lui a bien fait plaisir. Nous continuons à nous embrasser et déjà, la cloche retentit. Elle se précipite pour ouvrir la porte de la salle de cours et me dit de la rejoindre à midi, devant la salle des profs.
    
    Je suis au comble de l’excitation. Mon amour est là devant moi, et d’ici deux heures je vais la retrouver pour partager, je l’espère, un moment intime. Le cours est un véritable supplice de tantale. L’objet de mon désir et à quelques centimètres de moi et je ne peux pas la saisir dans mes bras. J’ai une folle envie de lui faire l’amour, de la serrer dans mes bras, de l’aimer sans limites.
    
    Ces deux heures furent interminables, lorsque la sonnerie retentit, je boucle mes affaires en quatrième vitesse, et je file dans la cour pour lui donner le temps de rejoindre la salle des profs, et aller la rejoindre. Quelques minutes s’écoulent et je fais mon chemin vers ma belle professeure.
    
    Arrivé devant le lieu-dit, elle m’aperçoit et me demande d’entrer sous prétexte de me donner quelques consignes supplémentaires pour mes révisions et quelques adresses pour trouver un stage de fin d’année plus facilement. Nous discutons, et lorsque le dernier prof a quitté la salle et fermé la porte derrière lui, à la demande de mon amour interdit, nous nous sautons littéralement dessus. Nous pouvons être démasqués et surpris à tout ...
    ... moment, mais au diable la pudeur et nous nous embrassons de nouveau comme deux adolescents, à la différence qu’elle est ma prof, que je suis son élève et que trente ans nous séparent. Je caresse ses fesses moulées dans son magnifique pantalon de cuir noir pendant qu’elle stimule mon sexe, toujours dur, à travers mon jean. N’y résistant plus, elle m’attire vers les toilettes de la salle des profs.
    
    Nous avons le cœur qui bat la chamade, mais nous sommes sur la même longueur d’onde. Nous avons envie l’un de l’autre. Tous mes doutes, toutes mes appréhensions s’estompent immédiatement quand je la tiens dans les bras, plus rien n’existe, tout est trouble autour de nous, je ne peux résister à son charme, à son élégance, à ses supplications, à ses baisers.
    
    Elle déboutonne mon jean, libère mon sexe empli de désir et d’amour pour elle, embrasse mon gland et commence à me sucer avec frénésie. Elle est en transe, je ne peux la refréner. Je me rends compte que la matinée a été un véritable supplice pour elle aussi. Elle dévore mon sexe comme jamais elle ne l’a fait, elle réalise des gorges profondes sur mon sexe, lèche mes testicules, me masturbe tendrement tout en léchant mon gland. Quelle frénésie, je suis au bord de l’explosion, mais je ne veux pas m’arrêter en si bon chemin. Je la relève et l’embrasse fougueusement, amoureusement puis la penche en avant, baisse son pantalon de cuir noir ainsi que sa culotte, et m’approche avec amour de son sublime fessier.
    
    Je la pénètre, à sa ...