1. La suite de nos amours


    Datte: 12/09/2022, Catégories: fh, fplusag, profélève, Collègues / Travail école, toilettes, amour, Oral fsodo, init, amouroman, Auteur: Lemmy, Source: Revebebe

    ... la prendre tendrement dans toutes les positions, pour finir par le bouquet final, son désir suprême, en la sodomisant. Elle adore cela, elle m’y a initié et ne peux pas imaginer finir un coït sans. Quel plaisir d’être avec une femme qui sait ce qu’elle aime.
    
    Nous nous quittons le soir, en sachant que nous allons nous retrouver très vite, dans des rôles différents.
    
    Le lundi est particulier, je me suis levé très excité par le situation, de la retrouver au bahut, en devant cacher la nature de notre relation, mais en allant plus loin, c’est-à-dire en faisant comme si de rien n’était entre nous. Le stress chasse l’excitation. Et si mes camarades comprenaient notre petit jeu, si, sans le faire exprès, je lâchais des indices qui mettraient à jour la vérité.
    
    Je pars pour le lycée avec l’esprit accaparé par ces pensées, je tente tout de même de me rasséréner, en effet, je n’ai pas cours avec elle aujourd’hui. Je ne risque donc pas de vendre la mèche puisque je ne ferai que la croiser, au pire, et en plus, en public, ce qui nous empêchera naturellement de nous donner en spectacle. Pour autant, elle m’obsède. Elle est dans toutes mes pensées et mes camarades remarquent bien que je suis absent. Fatalement, nous nous croisons dans les couloirs, entre deux cours. Ma pulsation cardiaque s’emballe, j’ai chaud, j’ai la gorge sèche, j’ai immédiatement envie de l’embrasser, mais je dois me retenir. Nous nous saluons, comme si de rien n’était, mais elle ne peut s’empêcher de m’adresser ...
    ... un clin d’œil, que je lui rends tendrement, pendant que mes camarades de classe la saluent également.
    
    Le mercredi sera une journée plus corsée. J’ai cours toute la journée avec elle. Je suis stressé rien que d’y penser, de peur de laisser échapper un geste ou un mot tendre en sa direction devant toute la classe, mais je suis heureux de la retrouver et de la voir toute la journée. La veille, je dors mal. Mes sentiments sont mêlés. Je l’aime, assurément, et je suis heureux de passer cette journée entière de classe avec elle pour l’admirer, la voir évoluer dans son élément, admirer ses talents de pédagogue, être fier de la voir si brillante. Mais j’ai peur, j’ai peur de nous trahir et de gâcher sa vie professionnelle et personnelle.
    
    Pour mon plus grand plaisir, elle a remis, ce jour-là, son pantalon de cuir. Elle sait que j’adore la voir ainsi vêtue. Je rougis immédiatement à son apparition et lui adresse un sourire discret, qu’elle me rend tendrement. La voir dissipe mes peurs instantanément. Je suis heureux. Le cours se passe comme à l’accoutumée, sauf que je suis en érection durant toute la durée des cours de la matinée. J’ai envie d’être avec elle, j’ai envie de crier mon amour pour elle, mais c’est impossible.
    
    À la pause de 10 heures, alors que mes camarades de classe sortent, elle me demande de venir la voir. Une fois les derniers élèves partis, elle ferme la porte à clef et je peux enfin me laisser aller à un baiser. L’adrénaline est à son paroxysme, mais je ne ...
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