1. Souvenirs de mon année Erasmus (5)


    Datte: 11/09/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Napelast, Source: Xstory

    ... nous restâmes debout dans le couloir à s’embrasser et s’enlacer.
    
    Elle ne voulait pas du lit, pas de problème pour moi, j’étais prêt à lui faire l’amour ici si elle le souhaitait. J’étais en fait prêt à tout, mon corps n’avait plus qu’une finalité, en pilotage automatique, j’allais faire l’amour à Jane, car c’était mon plus profond désir.
    
    Je posai ses mains sur ses hanches et en remontant lui caressai le dos. Elle avait la peau douce. Des frissons lui parcouraient le corps, et ils furent d’autant plus fort quand je lui pris les cheveux dans la main et avec le bout des doigts lui caressai la nuque.
    
    Elle exultait, mais ne semblait pas avoir beaucoup de temps pour ce genre de tendresses. En fait, elle était déjà prête. Elle changea rapidement d’attitude et me fit comprendre qu’elle voulait désormais que cela soit plus sauvage. Tout ça m’excitait beaucoup. A vos ordres Madame, je suis prêt !
    
    Sans perdre de temps, elle prit de sa main droite la boucle de ma ceinture et ouvrit mon pantalon. Elle le fit ensuite glisser, ainsi que mon boxer afin de libérer mon sexe qui prenait de plus en plus de place.
    
    Elle m’avoua d’un air coquin, qu’elle n’avait jamais vu de français nu, elle qu’elle n’avait jamais goûté au fruit défendu avec eux. Je lui demandai alors si elle était déçue de ce qu’elle voyait ?
    
    Tout en me prenant le chibre fermement par la main, elle me glissa que c’était bien le contraire. Elle continua à m’embrasser et mit l’engin prêt à l’emploi en le ...
    ... masturbant lentement. Pas besoin de trop le solliciter, il fut rapidement en ordre de marche.
    
    Je souhaitai néanmoins reprendre le contrôle avant l’assaut final, car je ne voulais pas lancer les hostilités avant d’avoir vu les trésors cachés de ma partenaire.
    
    Hélas. Je n’en eus pas l’opportunité, car ce moment merveilleux déboucha malheureusement sur une fin moins plaisante.
    
    C’est à l’instant même où elle allait dégrafer son soutien-gorge que la porte d’entrée de la collocation s’ouvrit. De celle-ci, firent irruption dans la pièce, Valentina l’Italienne et Marie la Belge.
    
    Dans la précipitation, j’essayai de dissimuler ce qui était possible de cacher. En vain. La colonne de chair gonflée de sang, prête à l’usage, était belle et bien visible et mes mains n’en couvraient qu’une partie. Tous, nous étions pris sur le coup de la surprise. Jane était rouge de honte et moi je ne savais plus où me mettre.
    
    Personnellement, dans ce genre de situation, je serais ressorti de la pièce laissant les deux amants vivre leur honte seuls. Loin de là, les deux filles restèrent plantées ici, dans le couloir avec nous, sans réagir.
    
    Jane, gênée, se tourna sur elle-même tout en m’invitant, en me priant plutôt, de me rhabiller. Marie accompagna également la démarche en se couvrant les yeux d’une main, comme pour conclure leur intrusion dans un minimum de décence. Valentina elle, au contraire, passée la surprise semblait apprécier la situation, elle ne voulait pas en perdre une miette. Elle se ...