1. Rien ne s'oppose


    Datte: 10/09/2022, Catégories: h, fh, fhh, couple, Collègues / Travail essayage, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, facial, jeu, yeuxbandés, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... nouveau. Lorsque je fus solidement arrimé, elle me retira le reste de mes vêtements.
    
    Mon état avancé d’excitation sembla lui convenir. Elle prit plaisir à caresser longuement ma queue avant de l’enfermer dans le creux de sa main.
    
    Quelques instants plus tard, gardant sa main immobile sur le membre, elle fit semblant de se désintéresser de mon état d’excitation, et m’interrogea sur le détail de mes perceptions intimes, comme elle en avait la mauvaise habitude depuis le début de notre aventure.
    
    — C’est bon de pouvoir palper tes frémissements d’impatience. L’instant de vérité semble être arrivé. Si tu m’avoues ce que tu ressens à l’instant, ce qui t’excite en moi, je te libère en un tour de main.
    — S’il te plaît, Airelle ! Cessons avec les pourquoi et les comment. Pas dans l’état dans lequel tu m’as mis.
    — C’est vrai, j’oubliais que les mecs étaient à usage unique. Dommage ! Dans ce cas, à toi de voir comment trouver le plaisir par toi-même. Je me contenterai d’en scruter les effets sur ton corps. Vas-y, montre-moi comment tu t’y prends !
    — C’est trop cruel ! Accompagne-moi ! Au moins du bout des doigts, ou de la langue.
    — Pas cette fois ! Je veux le balancement de tes hanches, les crispations de tes muscles, la recherche solitaire du plaisir. Juste avant le déferlement juteux, je veux contempler sur ton corps la montée de l’orgasme, le voluptueux abandon, vivre à distance l’instant où tu te liquéfies. Fais-moi partager la décharge des sens comme si tu étais ...
    ... seul.
    
    Prisonnier de son implacable volonté, je me soumis. Tout alla alors très vite. Son ton intransigeant, sa manière impérieuse d’exprimer ses désirs exerçaient déjà une forte emprise sur moi. Les mouvements de mes reins s’accordèrent au rythme de ses phrases. Je partis à la recherche d’une rapide libération en faisant coulisser mon membre à l’intérieur de sa main.
    
    L’appareil photo se remit à crépiter. L’artiste semblait vouloir capter chaque élan, chaque caresse, la naissance de chaque pulsion.
    
    Nos moiteurs, nos béances, nos crispations seraient à jamais immortalisées, mais nous étions déjà trop étroitement imbriqués pour nous en soucier. Une bulle protectrice nous entourait, dans laquelle nous nous sentîmes libres de planer à notre guise.
    
    Me voyant plus docile, Airelle m’accorda quelques caresses sur le torse. Elle se mit même à jouer avec mes mamelons, faisant vibrer ses doigts de plus en plus rapidement sur les bourgeons sensibles. Cette caresse inhabituelle provoqua d’abord d’agréables lancées dans mon bas-ventre. Mais plus la stimulation durait, plus la sensation évoluait. Quelque chose d’autre s’installa peu à peu, à nouveau proche de la douleur. C’était inattendu, presque insupportable.
    
    Mon bourreau finit par m’accorder une pause qui bouscula mon mode de perception érotique. De mes tétons malmenés partirent de troublantes sensations, qui mirent le feu entre mes reins. Je fus submergé par une vague de plaisir. Lançant mes hanches en avant de manière ...
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