1. Rien ne s'oppose


    Datte: 10/09/2022, Catégories: h, fh, fhh, couple, Collègues / Travail essayage, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme Masturbation caresses, facial, jeu, yeuxbandés, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... observer mes réactions viriles, elle reprit les mêmes gestes, encore et encore. Le photographe ne cessa de shooter.
    
    Par une savante alternance de succions, de griffures et de pincements, puis de pauses de plus en plus courtes, Airelle fit monter en moi une intense excitation. Elle m’amenait ainsi à la limite de la volupté, mais aussi de la douleur, puis m’apaisait par quelques effleurements avant de me torturer de plus belle.
    
    Elle se décida à me calmer par des attouchements plus conventionnels, avant que je sois complètement débordé par l’intensité des sensations. Le rythme des photos diminua en proportion. Le type devait doublement profiter de la situation, en suivant aux premières loges le flux et le reflux de mon excitation, tout en s’en mettant plein l’objectif de ma tortionnaire en petite tenue, enroulée autour de moi, offerte de la plus impudique manière. Me montrerait-elle toutes les photos ?
    
    Airelle finit par se détacher de moi et libéra mes mains. J’entendis sur ma droite un léger frottement d’étoffe, puis le bruit caractéristique des dessous qu’une femme ajuste sur son corps. Cela ne me donna malheureusement aucune indication sur la nature des merveilles dont elle se parait.
    
    À nouveau, elle me prit par la main pour me conduire en pleine lumière.
    
    Pour cette partie du défi, la coquine me compliqua la tâche en ne cessant de m’exciter pendant que je tentais de découvrir de quoi elle était déshabillée. Je dus faire preuve d’une grande maîtrise pour ...
    ... rester concentré et percevoir les infimes détails permettant de distinguer les différentes parures, pendant que les doigts de fée d’Airelle allaient et venaient sur ma verge.
    
    Elle ne m’épargna aucun frôlement, tant semblait intense son besoin de palper la montée du désir chez un homme entièrement à sa merci. Le jeu de devinette se transforma en course contre la montre lorsqu’elle s’ingénia à exciter l’extrême bout de mon gland. L’étude de l’effet de ses attouchements sur ma virilité s’acheva lorsque je pus décrire ce qu’elle portait.
    
    — Soutien-gorge corbeille, décolleté très dégagé, orné de broderie. De la guipure, si je me souviens bien, qui se poursuit sur toute la longueur de la bretelle. Nœud de satin sur le devant.
    — Couleur ? demanda-t-elle d’une voix rauque.
    — Noir, qui mettait si bien en valeur la pâleur de ta peau.
    — Fabriquant ?
    — Là, tu es rude… Passionata ?
    — Bingo : je te fais cadeau du bas.
    
    Si gentiment demandé, comment refuser ? Sentant à quel point Airelle frémissait d’envie d’avoir mes mains sur sa peau, je mis un soin particulier à la déshabiller, sans me priver de glisser mes doigts partout où elle m’en laissa le loisir.
    
    Le photographe shootait à tout-va pendant qu’Airelle répondait sensuellement à mes assauts, avant d’inverser les rôles et de frotter son ventre, ses cuisses et ses bras contre ma peau.
    
    Renonçant à me soumettre à une troisième épreuve, le souffle court, la belle me poussa en direction de la barre de danse pour m’y attacher à ...
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