Rien ne s'oppose
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couple,
Collègues / Travail
essayage,
boitenuit,
danser,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
caresses,
facial,
jeu,
yeuxbandés,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... Airelle dormait encore profondément, à cheval sur moi.
Craignant de la réveiller, je ne me retournai pas, et me laissai bercer par les vagues de sa respiration. La chaleur de sa peau et l’agréable pression de son ventre contre mon dos me convainquirent de rester près d’elle, jusqu’au bout de la nuit.
J’ai profité quelques instants encore de ce tendre enlacement, avant de replonger dans le sommeil.
Elle était assise dans un fauteuil, à côté du lit, au moment où je me suis réveillé. Habillée d’un jean et d’un pull tout-terrain, très légèrement maquillée, elle finissait la lecture du livre que nous avions commencé ensemble.
— Merci d’être resté avec moi. J’espère que tu ne regrettes rien.
— Pourquoi, je devrais ?
— On n’a pas dépassé le mode câlin. Tu pourrais ressentir un manque.
— À l’instant, le seul vrai manque, c’est un café.
— Le petit-déj’ est prêt, à la cuisine.
— Et comme mes habits sont restés dans le séjour, je vais faire le spectacle pour que Madame puisse se régaler.
— C’est fondamental pour bien comprendre les mecs, non ?
Puisqu’elle voulait jouer à ce jeu… Je me suis levé, étiré voluptueusement, avant de faire un tour sur moi-même, à la manière des mannequins. En fin de parcours, j’ai plongé sur Airelle. Saisissant le bas de son pull, je l’ai soulevé par-dessus sa tête, sans lui laisser le temps de se rebiffer.
Je ne fus pas déçu. Elle était nue, les pointes des seins dressées. Elle ne se défendit pas, bien au contraire. Comme dans le ...
... bar, elle me demanda de l’embrasser. Agenouillé devant elle, je me mis à jouer de la langue et des doigts sur ses seins, son ventre, sous ses aisselles. Là où je la supposais particulièrement sensible.
Elle murmura « encore » d’une irrésistible manière. Sa peau était chaude, douce. Lorsqu’elle me sentit décoller, Airelle me fit me relever et, après un léger baiser, m’offrit une longue caresse de la pointe du gland jusqu’au scrotum. Elle recula ensuite de quelques pas pour mieux observer ma réaction.
— J’en conclus que je suis encore attirante, même un lendemain matin et en pleine lumière.
— C’est pour te rassurer que tu t’es laissé faire ?
— Te regarder dormir m’a donné très envie de toi. Vraiment. Mais après tout ce que j’ai imaginé depuis que je suis réveillée, cela ne pourrait plus être « en toute amitié ».
— Ah, c’est vrai, j’oubliais le contrat ! dis-je sur un ton désabusé. Excuse-moi, mais ce que tu m’as permis de déguster suffit à me faire perdre la mémoire. Cela ne se reproduira plus…
Elle lança son pull sur une épaule et se dirigea vers la cuisine. Je la suivis sans me rhabiller. Nous commençâmes le repas nus, et en silence.
— Je ne joue pas avec toi, finit-elle par avouer. Mais tu as toi-même demandé de pouvoir prendre du temps pour nous découvrir. Après ce que nous avons partagé cette nuit, je ne sais plus très bien où je vais. Où je risque de te mener si je me laisse aller. Des choses se passent en moi que je n’avais pas prévues.
— De quoi as-tu peur ...