Je deviens lesbienne (2)
Datte: 09/09/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: sexag, Source: Xstory
... bien mon clito. Là c’est sublime, je me sens monter pour la deuxième fois.
—« Je voudrais votre bouche, votre langue Madame »
— Prends-la, tu le mérites, tu peux m’appeler Jeanne, c’est mon prénom.
— Jeanne, je voudrais faire l’amour avec vous, être votre soumise, vous m’excitez terriblement, mais il faut que je revienne au travail en salle.
— Je te promets que je t’appellerai pour te proposer une bonne partie de baise.
Myriam partie, je ne peux m’empêcher de me caresser et de me faire jouir une troisième fois même si ce n’était pas le contrat. Je regagne ma place pour payer ma consommation. En m’apportant mon ticket de caisse, Myriam me regarde fixement en passant sa langue sur ses lèvres et se caressant un sein sous son corsage. Cette jeune femme est une vraie salope, elle devrait plaire à Marie.
Comme prévu, je lance un SMS à Marie :
— Deuxième gage accompli, je me suis fait jouir deux fois par une serveuse du bar où nous nous sommes rencontrées. Je te raconterai.
— Bien ! Continue, il te reste vendredi.
—Nous sommes vendredi après-midi, j’ai un demi-repos.
Mon idée de lieu insolite sera l’église, j’irai me faire jouir dans le confessionnal.
Je réécoute en rêvant la chanson de Brassens « Mélanie »
« Ancienne enfant de Marie-salope
Mélanie, la bonne au curé
Dedans ses trompes de Fallope,
S’introduit des cierges sacrés. »
Je remets la tenue que j’avais pour aller voir Myriam. Je n’ai personne à exciter sauf peut-être le Père ...
... Jean si je le rencontre. J’ai vu les quelques rares fois où je suis allé confesser mes pêchés de chair, sans passer par le confessionnal qu’il matait avec insistance mes cuisses bien visibles sous ma minijupe et surtout mon décolleté provocateur.
J’entre dans l’église. A l’ouverture, la lourde porte grince sur ses gonds. Personne en prière. A la table des cierges, quelques flammes vacillent. L’offre de candélabres est bien pourvue dans plusieurs dimensions. J’en saisis trois des plus gros, je mets ma contribution dans la boîte prévue à cet effet et me dirige vers le confessionnal. Là encore, la porte grince à l’ouverture. Je m’assois sur le prie-Dieu. Ma position a relevé ma jupe laissant libre l’accès à ma chatte que je caresse pour me faire mouiller et préparer l’introduction des cierges.
Il me faut trouver une source d’excitation. Je pense à nouveau au corps de ma patronne, probablement inaccessible, pourtant, ce sein qui a frôlé ma joue lundi au bureau cette présence tout près de moi, me font rêver. Je commence à m’introduire deux candélabres du côté le plus gros, je garde le troisième pour mon cul. J’ai complètement ouvert mon corsage et de ma main restée libre, je me caresse les seins. En plein pilonnement de ma chatte par des allées et venues et des mouvements de rotation, je sens l’orgasme monter et sans précaution, je lâche des râles sonores de plaisir.
C’est alors que soudain, la porte s’ouvre. C’est le père Jean.
— Eh bien, Madame Jeanne, je vous ai vu ...