1. Nana (8)


    Datte: 08/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: X. Lamy, Source: Xstory

    ... sont arrivés ensemble les derniers. Voir ces masses de muscle déboîter la jeune fille est une scène fabuleuse. Sa chatte prend toutes les queues, son corps se tend et se détend pour tous les accueillir, tous les encourager. Elle est affamée de sexe, elle en redemande même. À peine sa bouche est-elle vidée qu’elle réclame une autre bite.
    
    Mais à un moment, l’un des rugbymen sort son téléphone portable et prend une photo, j’interviens :
    
    — Hey, les règles ! On a dit pas de photos !
    
    — Fous-moi la paix toi, continue de regarder sale cuck.
    
    — Efface ça tout de suite connard.
    
    — Hahahaha, ouais ouais, compte sur moi...
    
    Vu qu’il est inutile de discuter plus longtemps, je m’approche de lui d’un coup. Vu sa tête, ça devait être surprenant, pas par rapport à mon gabarit, mais plus par rapport à ma vitesse. Le mec en question commence à adopter une pose défensive, les rugbymen ont l’habitude de se battre sur le terrain. Mais je suis plus vif et lui ai envoyé mon pied de toutes mes forces dans le côté du genou. Le type plie dans une génuflexion de douleur.
    
    — MAIS ÇA VA PAS FILS DE PUTE ?
    
    Je remarque que son portable est par terre désormais. En vérité, je crève de mal au pied, mais j’essaye de préserver les apparences. Du talon, j’éclate le téléphone.
    
    — Maintenant ça va. Et toi ?
    
    C’est gratuit, petit, et surtout ça passe mal. Du coin de l’œil, je vois que le gang bang s’est arrêté, Anaïs a les yeux écarquillés. Ses trois copains s’approchent de moi avec un air ...
    ... menaçant, ça sent la chaise roulante pour les prochains mois. Je recule jusqu’à une table, je sens, comme dans les films, exactement, quelque chose sous ma main. Je m’en saisis et donne un énorme coup dans la gueule du plus proche. L’arme en question : un superbe godemichet d’une trentaine de centimètres, d’un rose bien flashy, souple. Je ne pensais pas un jour tabasser un rugbyman avec un sex-toy, mais c’est ce genre de petite chose qui participe à la beauté de la vie. Je balance le sex-toy en visant la gueule d’un autre, mais il a le temps de parer. Me voilà nu, prêt à ramasser encore plus qu’Anaïs. La porte claque et Mayeul débarque, une carabine à la main.
    
    — QU’EST-CE QUE C’EST QU’CE PUTAIN DE FOUTOIR ICI ? QU’EST-C’QUI S’PASSE BORDEL À QUEUES ?
    
    On nage en plein surréalisme et si Mayeul n’existait pas, il faudrait l’inventer.
    
    — DÉGAGEZ D’ICI AVANT QUE J’M’ÉNERVE BANDE DE CHIENS GALEUX !
    
    — Yeuyeu, tout doux. Ce sont juste les quatre armoires à glace là qui sont des connards. Les autres sont tranquilles.
    
    — T’ES SÛR GAMIN ?
    
    — T’inquiète. Hey l’équipe B, ramassez votre pote et tirez-vous d’ici. Et essayez même pas de vous venger, Yeuyeu a le sang chaud et moi les idées froides, on vous ratera pas.
    
    Les trois rugbymen debout ramassent leur coéquipier qui boite. Ils me jettent un regard noir, je me contente de rester impassible. Ça a au moins le mérite de les agacer de leur montrer qu’on ne se laisse pas impressionner.
    
    — Hey ducon.
    
    Il me regarde en ...
«12...5678»