1. Nana (8)


    Datte: 08/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: X. Lamy, Source: Xstory

    — Yeuyeu, est-ce qu’on ne lui changerait pas de tenue à notre mini-vide-couille ?
    
    — Excellente idée, garçon !
    
    — Ma petite poupée, avec Tonton Yeuyeu, on va aller te trouver autre chose pour t’habiller. Tu prends une douche en attendant ?
    
    — Mais j’aime bien avoir ton sperme sur mon visage !
    
    — Je sais mon cœur, mais pour recevoir, il faut aussi donner. Ce serait mieux si tu offrais aux hommes qui arrivent un visage frais et propre pour qu’ils puissent, pas vrai ?
    
    — Moui...
    
    — Et puis tu auras plein d‘autres faciales de ma part maintenant qu’on vit ensemble.
    
    — Moui, c’est vrai...
    
    — Allez, arrête de faire ta boudeuse et file à la douche !
    
    Anaïs se déshabille complètement et part faire un brin de toilette, alors que je rejoins Mayeul qui avait déjà commencé les recherches.
    
    — Bon petit, qu’est-ce que tu dis de ça... Et de ça aussi...
    
    — Pas mal, ça irait bien avec ça, ou ça peut-être...
    
    Une fois que nous avons mis la main sur une tenue appropriée, nous revenons vers Anaïs qui sort tout juste de la douche, fraîche et pimpante. Elle a la force de la jeunesse pour être encore d’attaque après ce qu’elle a déjà pris aujourd’hui. Le tout doublé d’une perversité d’un autre monde, car après tout, c’est elle qui demande à ce qu’on la monte encore. Nous lui passons les articles avec lesquels elle s’empresse de s’habiller.
    
    Elle commence par enfiler un body ouvert formé de lanières en cuir rouge. Elles ne font qu’entourer ses seins et son sexe sans les ...
    ... cacher, comme une invitation à bien viser. Avec ça, une paire de bas résille noire à larges carreaux, autofixants, qui monte jusqu’à la moitié de la cuisse. Pour le bas, une minijupe en latex rouge qui s’arrête juste sous les fesses tout en les moulant très fortement. Je ne sais même pas comment elle fait pour marcher avec, Mayeul a vraiment un compas dans l’œil. En parlant de marcher, on a troqué ses cuissardes contre une paire d’escarpins qui fait écho à ceux que portaient les prostituées du siècle dernier. Un classique noir verni, bout pointu et fermé, dont le col s’arrête sous la cheville. La chaussure est fermée par le cuir qui se lace par-dessus le pied, le talon est une aiguille qui fait une quinzaine de centimètres.
    
    Pour le haut, un t-shirt blanc crop qui s’arrête juste sous la poitrine, on peut alors admirer l’entrelacement de bandes de cuir qui courent sur son ventre blanc. Est inscrit dessus, en noir, "Cum Princess". Après s’être recoiffée en ayant fait deux longues couettes hautes, Anaïs enfile la touche finale, un collier en cuir, toujours rouge, à l’avant duquel pend un anneau métallique.
    
    — Les garçons, vous me trouvez comment ?
    
    — T’es à croquer ma petite, si j’avais 20 ans de moins, je te serais r’passé dessus encore une fois !
    
    — Et moi pareil, si j’avais eu 6h de sommeil en plus. J’attends le jour où je te trouverai laide ou fade. Mais je me fais une raison, plus le temps passe, plus j’ai le sentiment qu’il n’arrivera jamais.
    
    — Donc si je comprends ...
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